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Agent commercial, travaillant depuis 25 ans pour une vingtaine d’enseignes, Patrick Combet voyage beaucoup, notamment dans les territoires d’Outre-Mer. Lorsqu’il prend le temps de se poser, dans sa famille à Chevroux où il occupe une maison familiale, Patrick Combet aime chiner de temps en temps, mais encore tenir un banc sur les puces de Pont-de-Vaux comme il l'a fait dimanche dernier accompagné de sa mère et de membres de sa famille. « Mes parents étaient brocanteurs, forcément j’ai quelques gènes. Mais je ne fais que ce marché là, comme particulier. Ma famille y vient depuis l’origine, bien avant sa reprise par l’association Anime Joubert. Moi ça fait 5 ans. Avec ma femme, ma mère Jeannette Combet, ma famille, on fait uniquement ces trois marchés pontévallois en raison de leur convivialité, des gens que l’on y retrouve. Ensemble on passe une bonne journée. On voit du monde. On aime cela. ». |
La vente c’est son métier et, à Pont-de-Vaux Patrick Combet baigne dans son jus, derrière un grand banc. Mais d’où proviennent les objets qu’il expose ? « Mort père est décédé il y a deux ans, mais sa maladie l’avait arrêté avant. On avait alors rassemblé les articles qui restaient, issus de l’activité de mes parents. Il y en avait beaucoup. On liquide de cette façon. Papa était par ailleurs un grand collectionneur et cette collection alimente encore, en partie, nos bancs. Pour le reste, il est vrai que des personnes qui ont connu mon père n’hésitent pas à nous appeler pour demander si on est intéressés par des objets dont ils souhaitent se débarrasser et que l’on pourrait vendre. Sachant que l’on ne vient que 3 fois par an, on accepte ou on décline ». Ce dimanche matin les bancs des Combet étaient très entourés. |
