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A défaut d'ensemble musical, la clique étant mobilisée au même instant à la fête cantonale des sapeurs-pompiers, la cérémonie
de la journée des déportés, dimanche en fin de matinée au monument au mort de la ville, a été animée par le groupe d'André Duc qui a chanté le « Chant des partisans ».
Cette cérémonie a rassemblé le public traditionnel, soit une trentaine de personnes, représentant principalement le monde
combattant, au premier rang desquelles on notait la présence habituelle des enfants d'Auguste Bernachon, déporté au camp de Dachau en 1944. Ils étaient rassemblés autour des élus locaux
et de dix porte-drapeaux d'amicale d'anciens combattants.
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Après le dépôt de la gerbe au pied du Poilu de 1914/1918, et la traditionnelle minute de silence, c'est Philippe Coillard,
premier adjoint qui, en l'absence du maire Jean-Claude Thierry, a lu le message des associations de déportés. En conclusion ce message lançait « un appel à la vigilance, au respect de
l'être humain, de sa dignité et du droit à la différence. Ce message que nous adressons au jeunes générations se veut partie prenante de la construction de l'avenir ».
Le public présent a ensuite participé au vin d'honneur offert par la commune.
Cliquer sur chaque photo pour l'agrandir.
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