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Il y a eu Florence Cassez, il y a maintenant Maude Versini. On n’en finira donc pas avec ces intellectuelles qui, passant au-dessus des barrières éthiques et morales, se laissent séduire par des pourris, profitent du niveau de vie que ces corrompus leur offrent, sans trop se soucier des peuples qui en sont victimes, avant d’en payer le prix. La prison pour la première, la séparation d’avec ses enfants pour la seconde.... Et de se donner un statut de victimes puis, profitant de leurs relations privilégiées, d'alerter les plus hautes instances de leur pays, la France, pour tenter de résoudre le problème, complètement personnel, dans lequel elles se sont d’elles mêmes engagées. On retrouve les mêmes problématiques avec ces personnes qui, bravant les consignes de prudence, s’en vont à travers certains pays d’Afrique, réputés dangereux, pour s’y faire enlever et libérer contre rançon. |
Il ne s’agit pas là de mettre en cause les organisations humanitaires qui prennent toujours d’infinies précautions ni ceux qui, économiquement, sont engagés sur ces terrains pour le compte des firmes françaises, eux aussi en principe protégés, mais de ceux qui, délibérément et au nom de leur liberté individuelle, jouent les inconscients. On en a eu récemment l'illustration avec l’enlèvement et la libération d’une famille. Par leur attitude, ces quelques personnes, les deux premières nommées, comme les autres, vont jusqu’à compromettre les relations internationales de la France. Ce faisant, elles coûtent des fortunes colossales à leur pays en terme de marchandages diplomatiques, commerciaux et de paiements occultes... Et partant, à tous les contribuables, y compris les smicards .... Ces quelques personnes ! Ch. M. |
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Humeur !
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