Pas si simple cette deuxième partie de championnat qui semble traduire un RCHB en perte de vitesse.

Victoire étriquée à domicile devant le péage de Roussillon le 6 janvier ; en difficulté à Ozon, malgré la victoire, 19/15 le 13 janvier ; match nul, 5 à 5, dimanche dernier sur son terrain devant la Verpillière... Le XV pontévallois a du mal à s’imposer devant des adversaires de second plan, et se retrouve en échec face à des équipes de son rang.

Ce voyage à Pont-de-Chéruy, club en plein renouveau et qui a dominé St-Genis, actuel 4me, le 6 janvier, n’a été défait que d’un point à Succieu avant d’aller arracher un nul au Péage (15-15), dernièrement, ne s’annonce donc pas de tout repos.

Que feront les bressans sur cette terre dauphinoise située à l’écart des grands axes et que la paupérisation des industries métallurgiques, florissantes dans la première moitié du 20me siècle, à décimé économiquement.

Le grand club de football de l’époque (3me division, Nationale aujourd’hui), a disparu. Le rugby reste le dernier étendard sportif à porter la fierté de public pontcharvin. Il faudra bien y penser en se rendant là-bas. Match 15 heures.

Les féminines au stade du Champ

Ce dimanche à 15 heures les Demoiselles accueillent la formation « Force XV » d’Oyonnax en match de rattrapage de la première journée retour. Classées en milieu de tableau, en fédérale 3, rugby à 12, les féminines dont l’équipe est une entente regroupant plusieurs clubs, notamment Pont-de-Vaux et Cluny, va tenter de glaner quelques points pour se rapprocher du groupe de tête emmené par les féminines de Sassenage( 38).

Juniors et cadets reçoivent l’USO Nevers au stade Champlevert à Macon, ce samedi à 16 heures.

L'année 2012 a été belle pour le comité de fleurissement.

En effet, Pont-de-Vaux se classe 3e de la catégorie des villes de 2001 à 5 000 habitant. Une catégorie qui est loin d'être la plus facile parce que soumise à une vive concurrence.

Parallèlement à cela, le comité de fleurissement de Pont-de-Vaux vient de rendre public le palmarès du concours des maison fleuries dressé pour les notations du jury habituel composé de membres des comités voisins de Reyssouze et de Gorrevod.

Les prix seront remis à 29 lauréats lors de la prochaine assemblée générale du comité local de fleurissement. La date sera précisée ultérieurement.

Jean Guillemaud, président du comité, demande de écho de son appel au recrutement de bénévoles en vue de

renforcer les rangs de l'équipe de fleurissement des massifs publics. elle  était jusqu'à présent composée de seulement treize personnes.

Classement du concours local :

Réusltats des particulier classés au concours départemental :

Avec ses volets fermés depuis une dizaine d'années cet immeuble était une verrue sur la place Joubert. Or, depuis quelques jours ce dernier a reprend vie. Des entreprises effectuent des travaux de rénovation menés par une société civile immobilière locale qui proposera à l'automne, vraisemblablement vers le mois d'octobre, huit appartements en location : 2 grands F4, 2 F2 bis, et 4 F3.

Autre changement au rez-de-chaussée, le départ probable de la clinique vétérinaire vers les anciens locaux d'Agri Sud Est sur la place Pillard, mais aussi le transfert de l'Anatolie, le restaurant kebab de la rue André. Il s’installe, en façade de la place Joubert dans le local laissé vacant par le vidéo club lequel a migré, depuis plusieurs mois, sur la place Bertin. On murmure également, dans le quartier, que l'ancien kebab pourrait être occupé par un restaurant asiatique.

La réhabilitation de l’immeuble Joubert devrait donc redonner à la place un aspect plus pimpant. Cette rénovation signe la disparition définitive de l’ancien hôtel-restaurant qui, à l'enseigne « Hôtel-restaurant de la Reconnaissance », a porté la renommée de la gastronomie locale. 

Il fut en effet l'un des trois établissements pontévallois arborant un macaron décerné par le célèbre guide rouge. Ce qui, à l'époque, constituait une sorte de record pour une petite ville de deux mille habitants.

Réouvert plusieurs fois après la disparition du chef charismatique des années 50/60, M. Luque, l’établissement a connu une succession de revers jusqu'à sa fermeture définitive.

Quand à l’immeuble, un faux Empire vraisemblablement construit entre le 17me et le 18me, il aurait abrité, à cette époque, un relais de diligences comme en témoigne sa belle porte cochère et sa cour intérieure, dont les pavés apparaissaient encore au milieu du 20me siècle.

La production française de semences de gazon

La production de semences de gazon représente entre 5000 et 10 000 ha en France. Ce sont des productions bien adaptées à nos conditions climatiques, même si nous sommes loin derrière le Danemark (premier producteur Européen avec une production proche de 50 000 ha) ou encore l'Oregon, aux États-Unis, qui exporte dans le monde entier.

Pourquoi sélectionner ?

Les objectifs sont multiples. Ils sont d'ordre technique, esthétique mais aussi économique. La difficulté est d'essayer d'améliorer tous ces critères simultanément.

Pour le marché professionnel, la résistance au piétinement (critère numéro un pour les terrains de sport) est parfois associée à une exigence particulière pour les hauteurs de coupe (de quelques millimètres pour les courts de tennis, les greens de golf). La finesse des feuilles reste un critère important. Grâce à la sélection, le ray-grass anglais, considéré comme de l'herbe à vache, est devenu aussi fin qu'une fétuque rouge tout en gardant sa vitesse d'installation et sa résistance au piétinement.

Des études sont réalisées sur la résistance aux maladies (rouilles, fusariose, fil rouge...), au froid et à la sécheresse.

La tonte est souvent vécue comme une corvée. L'objectif est d'espacer les tontes, sans que le jardin ne devienne une prairie et de diminuer la quantité de déchets. En sélectionnant les plantes à croissance lente et dont la hauteur est limitée, on répond à ce critère.

Choix des mélanges et comment s'y retrouver ?

Les compositions sont basées principalement sur les espèces et variétés figurant au Catalogue Officiel Français des graminées à gazon. L'incorporation des espèces n'y figurant pas mais présentant un intérêt environnemental s'est avéré possible : trèfles et luzernes gazonnantes, dactyles, cynodon (chiendent)...

Selon les espèces et la variété utilisées dans les mélanges, il peut exister d'importantes différences de qualité . Mis au point par Progazon et accordée par le Ministère de l'Agriculture, le label rouge, un gazon de haute qualité qui apporte de véritables garanties au consommateur. Le choix de l'utilisateur est ainsi facilité grâce à des appellations simples et précises, classées en trois catégorie :

– sport et jeux

détente et agrément (utilisation courante)

ornement (pelouse fine)

Remarques : Une marque défini par Progazon (pelouse Eco-Durable) propose de nouvelles compositions permettant la gestion de nouvelles pelouses durables,répondant aux critères suivants :

- réduction des arrosages

- réduction des tontes et de leur déchets

- réduction des besoins en engrais

L'année 2012 aura été, encore, une année forte en activités. Le canton de Pont-de-Vaux n'a pas été épargné par une délinquance toujours bien présente mais relativement stable par rapport aux années précédentes.

Les sollicitations de la population ont encore été importantes à l'égard des services de gendarmerie de la brigade. C'est pourquoi, au vu de ces sollicitations, il a été décidé la mise en place d'un chargé d'accueil et l'ouverture partielle au public de la brigade de Pont-de-Vaux le mercredi matin.

Ce jour de la semaine, jour du marché local, semble être le jour le plus propice. La population se présentant entre 8 et 12 heures aura donc un interlocuteur sauf cas exceptionnel de fermeture.

 NDR : Si l’on peut regretter la disparition de la brigade spécifique du canton, entrainant une rupture du dialogue qui existait entre

les militaires et la population, ces nouveaux horaires d'ouverture sont un plus pour la localité.

Le simple fait de savoir ,qu’en certaines circonstances, il est possible de rencontrer un gendarme et d’avoir un interlocuteur qui connaisse sa ville et ses problèmes, est en soi plus rassurant pour le public.

Ce lien, rompu il y a quelques années, est en partie rétabli.

Le premier PASAE (Programme annuel de soutien aux activités éducatrices) qui remplace cette année le CEL (contrat éducatif local) s'est déroulé avec succès pendant les vacances scolaires de la Toussaint.

Le second aura lieu pendant les vacances scolaires du 25 février au 1er mars. Il proposera un nombre d'activités réduites : dessin et peinture avec le musée Antoine-Chintreuil, du tennis de table avec le TTPV, de la poterie avec SLC, de l'équitation avec les Cavaliers de Pré fleuri à Saint-Bénigne, des jeux aquatiques à la piscine avec la communauté de communes, du judo avec le Judo club pontévalloise, du tennis avec le Tennis club, du roller avec Veyle roller et un centre de loisir sur le thème : « à la découverte de l'Amérique » avec « 1, 2, 3, Soleil ».

Les tarifs vont de 5 à 25 euros par enfant pour la semaine.

Le PASAE de février propose plus de 150 places à des élèves d'écoles primaires du canton (de la grande section en maternelle au CM2 en primaire).

Les parents intéressés peuvent faire inscrire leurs enfants au 03.85.51.45.77 (Communauté de communes) Ou consulter le site :

 www.cc-pontdevaux.compour

Les rapports statuaires ont été présentés par Daniel Platret (président) et Marie-Claire Broyer (trésorière), qui ont présenté les activités de l'année écoulée, notamment le voyage annuel aux Baléares qui a connu un grand succès. La section locale comptait l'an dernier 28 adhérents (32 en 2011).

Les deux intervenants étaient entourés de Jean Guillemaud, présent à titre de maire-adjoint et d'adhérent de l'association, et de Thierry Desmaris, président de la section de Bourg-en-Bresse, qui, en tant qu'administrateur départemental, régional et national, pouvait mieux que quiconque relater les combats menés en faveur des adhérents : maladies professionnelles (amiante, bitume...), lutte contre l'exclusion sociales et l'emploi des personnes handicapées, revalorisation de l'AAH (allocation aux adultes handicapés), des retraites, négociations sur les dépassements d'honoraire...

Au chapitre des victoires, c'était pour la première fois la reconnaissance officielle en agriculture de la maladie de Parkinson suite

aux expositions nocives de produits phytosanitaires, à travers une première indemnisation versée à un agriculteur de la Vienne.

Sans oublier l'application de la loi de 2005 pour l'accessibilité des handicapés dans les lieux publics qui doit entrer en vigueur le 1er janvier 2015. A cet égard, le groupement de l'Ain participe aux travaux d'une commission, composée de neuf associations, qui se réunit  avec les pouvoirs publics pour valider ou non des permis de construire. 

Plus que jamais à la FNATH, le combat continue.

15 heures :

Le Prénom.

2012. 1h49. Français. Comédie.

Réalisé par Alexandre de La Patellière, Matthieu Delaporte.

Avec Patrick Bruel, Valérie Benguigui, Charles Berling, Françoise Fabian …

Vincent, la quarantaine triomphante, va être père pour la première fois. Invité à dîner chez Élisabeth et Pierre, sa sœur et son beau-frère, il y retrouve Claude, un ami d’enfance.

En attendant l’arrivée d’Anna, sa jeune épouse éternellement en retard, on le presse de questions sur sa future paternité dans la bonne humeur générale... Mais quand on demande à Vincent s’il a déjà choisi un prénom pour l’enfant à naître, sa réponse plonge la famille dans le chaos.

Entrée : 6,10 € - 18 ans : 5,10 € adhérent SLC et C.E. : 4,00 € - 5 ans gratuit

17 h 30 :

 Les Mondes de Ralph. 2012. 1 h 41. Américain. Animation, Comédie, Famille. Réalisé par Rich Moore.

Avec François-Xavier Demaison, Dorothée Pousséo, Donald Reignoux, Isabelle Desplantes …

A partir de 3 ans

Dans une salle d’arcade, Ralph la casse est le héros mal aimé d’un jeu des années 80. Son rôle est simple : il casse tout ! Pourtant il ne rêve que d’une chose, être aimé de tous…

Vanellope Van Schweetz quant à elle, évolue dans un jeu de course, fabriqué uniquement de sucreries. Son gros défaut : être une erreur de programme, ce qui lui vaut d’être interdite de course et rejetée de tous…

Ces deux personnages n’auraient jamais dû se croiser… et pourtant, Ralph va bousculer les règles et voyager à travers les différents mondes de la salle d’arcade pour atteindre son but : prouver à tous qu’il peut devenir un héros… Ensemble, arriveront-ils à atteindre leurs rêves ?

Entrée : 6,10 € - 18 ans : 5,10 € adhérent SLC et C.E. : 4,00 € - 5 ans : gratuit

20 h 30 :

Thérèse Desqueyroux. 2012. 1 h 50. Français.

Drame. Réalisé par Claude Miller. Audrey Tautou, Gilles Lellouche, Anaïs Demoustier, Catherine Arditi, Isabelle Sadoyan, Stanley Weber, Francis Perrin, Jean-Claude Calon …

Dans les Landes, on arrange les mariages pour réunir les terrains et allier les familles. Thérèse Larroque devient Madame Desqueyroux ; mais cette jeune femme aux idées avant-gardistes ne respecte pas les conventions ancrées dans la région. Pour se libérer du destin qu’on lui impose, elle tentera tout pour vivre pleinement sa vie…

Entrée : 6,10 € - 18 ans : 5,10 € adhérent SLC et C.E. : 4,00 € - 5 ans : gratuit

Prochaines séances le vendredi 22/3/2013.

Résultats : 1. Jean-Jacques Pacoret, Mâcon, 1460 points ; 2. Frédéric Bernoud, Azé, 988 pts ; 3. Denis Morel Gorrevod, 881 pts ; 4. Emmanuel Pacoret, Pont-de-Vaux, 876 pts; 5. Laurent Feyeux, Feillens, 873 pts, etc.  

Cliquer sur chaque photo pour l'agrandir     

Tout au long de la soirée, et au hasard des tirages, les lots présentés sur l’estrade ont quitté celle-ci pour rejoindre la table des gagnants. Ainsi le frigo américain pour Mme Papriarca Cécile de Pont de Vaux, un Voyage à Mme Quaissard Denise de Bourg en Bresse. La télé écran plat échoit à Mme Monin Renée et le home

Cliquer sur chaque photo pour l'agrandir.

Le nouveau conseil d'administration de l'Ablette bressane s'est réuni vendredi soir au siège de la rue Franche à Pont-de-Vaux pour voter son bureau.

Fernand Neumer reconduit à la présidence

Pas de surprise avec la réélection de Fernand Neumer à la présidence, et deux vice-présidents : Daniel Talmard (pour la partie technique) et Marie Claude Berger (pour l'administratif), François Bonhomme (trésorier) et Sandra Aynié (secrétaire), et dix membres assesseurs : Guy Champanay, Angela Van Buren, Patrice Berry, Ludovic Cordier, Jérôme Desmaris, Carlos Dos Santos, Julien Duparay, Jonathan Stouff, Christophe Patriarca et Guillaume Temporal.

Championnat de France Handi pêche

A cette occasion ont été mises en place cinq commissions et les présents ont été informés que depuis le matin même, Fernand Neumer, avait reçu le mail de confirmation du championnat de France de pêche au coup 1re division pour les handicapés dont les dates sont désormais arrêtées les 31 août et 1er septembre prochains sur le plan d'eau intercommunal. Le groupe sera composé de 24 concurrents et de deux accompagnateurs, ce qui représentera une centaine de personnes à accueillir.

Dès lors un important programme de travaux est lancé par le président et son équipe. Il s’agira d'aménager des emplacements et créer un ponton. Ils représenteront un total de travaux de 60 000 euros. Le financement devrait pouvoir être bouclé par des subventions des collectivités territoriales, les demandes ont été lancées, sachant aussi que plusieurs partenaires privés sont sur les rangs pour aider la société de pêche locale dans ce grand projet.

Cette soirée autour d'un buffet et du verre de l'amitié, avait pour but de remercier les associations partenaires : « nous faisons beaucoup appel aux associations et aux collectivités locales pour nos manifestations et nos actions et elles nous répondent toujours présent avec beaucoup de dévouement.

Parmi elles, figurent des équipes d'entreprises de la rive gauche de la Saône, à l'instar de la quadrette formée d'Hervé Taton, Sébastien Desgranges, Olivier Fontaine et Hervé Burtin, qui présentait l'usine Wienerberger à Pont-de-Vaux.

Vendredi soir, cette équipe en était à sa troisième partie depuis le début de la saison, mais elle a malheureusement perdu contre la quadrette de Logidis de Mâcon, se trouvant de fait éliminée de cette compétition. « On fait ce qu'on peut au tir, mais il est difficile de gagner sans avoir de tireur confirmé» nous confiait l'un des joueurs.

L'essentiel n'est-il pas de participer ? En tout état de cause, après l'équipe Corrand de Pont-de-Vaux qui a été présente pendant de longues années sur cette épreuve, étant absente cette saison après la reprise de la société, les briquetiers pontévallois auront quand même autant que faire ce peut, bien représenté le canton de Pont-de-Vaux.

Sur le Mondial du quad, chaque été au mois d'août, lors des cinq dernières éditions, le team H-Bomb a fait frissonner le public en effectuant de spectaculaires sauts de buttes en quad et motoneige, dont le célèbre « backflip » (saut périlleux arrière).

Ce team créé par Caleb et Colten Moore au Texas, se produisait fréquemment aux Etats Unis comme aux Winter Xgames à Aspen dans le Colorado où l'an dernier Caleb avait obtenu une médaille de bronze.

Les frères Moore étaient encore présents sur cette épreuve dont c'était la 17e édition le 27 janvier dernier.

Dans un « backfilp » sur motoneige, Caleb Moore, n'a malheureusement pas pu redresser sa machine avant l'atterris-sage et a gravement été blessé. Il a été percuté par la motoneige d'un poids de plus de 200 kg, alors qu'il était au sol.

Transporté à l'hôpital de Grand Jonction, il n'a pas survécu à ses blessures. Il est décédé jeudi à l'âge de 25 ans.

Autre deuil pour l'équipe du président Bernard Maingret, la disparition de Jean-Claude Olivier,

Il a été un fidèle accompagnateur de la famille Maingret comme directeur, pendant 45 ans, de Yamaha France.

Jean-Claude Olivier aura notamment mis le pied à l'étrier, comme préparateur de motos de rallyes-raids, à Christian Maingret sur le premiers Abidjan-Nice et les Paris Dakar suivants.

Puis il a envoyé, chaque année, des quads officiels sur le Mondial à Pont-de-Vaux, auquel il a participé comme pilote au guidon d'une machine.

Jean-Claude Olivier a été tué sur l'A1 en région parisienne par un camion qui a traversé le terre-plein central en percutant son 4x4.

L'assemblée générale du club micro-informatique a réuni une quinzaine de personnes vendredi soir au local de la rue Herbet. Pour Jean-Luc Albert, cette assemblée était la 31e du genre car le club est né en fin d'année 1981. Un record de longévité pour un président d'association à Pont-de-Vaux.

Cette soirée a porté sur les activités de l'association au cours de l'année écoulée : initiation et perfectionnement à l'informatique, à la bureautique et aux banques de données, à l'Internet, la photo et vidéo numérique. Une séance consacrée à l'utilisation du Smartphone a été organisée pour la première fois.

Les séances ont réuni près d'une vingtaine de personnes chaque semaine le jeudi de février à juin.

Pour l'année en cours, les soirées d'initiations et de perfectionnement sont reconduites. Elles commenceront le jeudi soir à 20 h 30 à partir du 21 février prochain au local du club micro-informatique, rue Herbet, dans le bâtiment de « 1,2, 3, Soleil » (halte garderie), moyennant une cotisation de 42 euros

Les huit premières séances seront consacrées à la bureautique et aux banques de données : 37 euros moins 24 euros (8 x 3 euros) remboursés par soirée si l'adhérent est présent. Et les suivantes au nombre de 4 séances pour l'Internet, la photo, la vidéo, et le smartphone, présenteront un coût de 24 euros, moins 12 euros (4 x 3 euros) par soirée si l'adhérent est présent.

Pour tout renseignement sur la soirée d'initiation et de perfectionnement, s'adresser à Jean-Luc Albert, Maison de la presse, 75, rue Maréchal-de-Lattre à Pont-de-Vaux.

Après plusieurs semaines de préparation du chantier, le site de la Verchère, est depuis quelques jours, le théâtre des travaux de gros œuvre menés par l'entreprise Lussiana de Reyssouze, adjudicataire de l'appel d'offre qui avait été lancé. Ce bâtiment est construit sur des fondations spéciales qui représentent un surcoût de 70 000 euros (avec l'installation d'une rampe pour handicapés) pour que le niveau de la dalle soit au-dessus de la cote de la crue de 1840. Ce qui constitue un véritable gâchis d'argent public à l'heure où l'Etat entend faire des économies. Cette réglementation veut tenir compte d'un évènement qui s'est produit il y a 170 ans et a peu de chance de se reproduire compte tenu des nombreux aménagements apportés sur le cours des rivières, inexistants pas à l'époque, et d'un relèvement général des niveaux de sols liés à l'urbanisation.

Le futur bâtiment sera d'une surface de 330 mètres carrés. Il abritera une salle de restaurant de 120 mètres carrés qui permettra d'accueillir 128 enfants en un seul service. Ces enfants viendront de l'école primaire attenante et de l'école maternelle, situées à quelques pas de là. Le reste sera occupé par une cuisine destinée à réchauffer des plats en chaîne froide livrés par une entreprise spécialisée qui sera choisie par appel d'offre. Et par des locaux de service : frigo, sanitaires, techniques... Entre le bâtiment et l'école primaire, une aire de jeu (fermée) est prévue pour occuper les enfants avant ou après le repas.

Le nouveau restaurant scolaire devrait être opérationnel à la rentrée de septembre prochain, la livraison étant prévue au cours de l'été. Il devrait employer deux personnes représentant en heures cumulées un seul trois quart temps plein en emploi permanent.

Les parents dont les enfants mangeront à la cantine, devront sans doute s'attendre à une légère augmentation des repas pour compenser en partie les charges supplémentaires.

Mais l'écart devrait être infime sachant qu’actuellement chaque repas pris par les élèves au collège présente un coût de 3,14 euros par enfant pour les parents. En outre, un nouveau système de tickets est prévu afin de limiter les impayés que la commune doit jusqu'à présent assumer.

Pour la municipalité qui a pris pour modèles les cantines de Coligny et de Marboz, ce nouvel équipement, représente un montant de l'investissement représente 550 000 euros, auxquels il faut déduire 50 000 euros alloués par le Conseil général de l'Ain.

Le centre cantonal de Pont-de-Vaux reste, fort heureusement, opérationnel mais son manque d'effectif ne lui permet plus de satisfaire à toutes les interventions. Il est regroupé avec d'autres centres de secours ce qui éloigne d'autant les équipes d'intervention. Un récent recrutement apporte une bouffée d'oxygène mais le temps de formation des nouveaux sapeurs, retarde leur intégration dans les équipes. 

A un autre niveau le CPINI de Saint-Bénigne reste actif avec des sapeurs-pompiers en double engagement avec Pont-de-Vaux et la commune à la chance, rare, de disposer d’un effectif totalement opérationnel, c’est-à-dire qu’il est servi par des sapeurs-pompiers qui tous, disposent des formations leur permettant d’intervenir sur les sinistres, les accidents et le secours aux victimes.

Ainsi chacune de leurs interventions, qu’elles aient lieu dans le cadre du secours de proximité ou en relation avec le centre de secours cantonal, apporte l’assurance, à ces victimes, d’être secourues par des hommes ou des femmes à la compétence reconnue, sanctionnée par l’obtention de diplômes et renforcée d’une expérience unique, au contact du terrain. Mais là aussi le manque d'effectif se fait sentir avec les mêmes effets. 

Mais pendant combien de temps encore s'interroge le Major Perdrix ?

« Les années passent et pour certains d’entre nous, l’heure de la retraite sonne. D’autres, en raison de la mobilité de l’emploi aujourd’hui, quittent notre commune » Souligne-t-il.

Le Major qui depuis quelques années multiplie les appels au volontariat confie : « Nous avons réussi jusqu’à présent à compenser les départs par de nouvelles recrues. Mais il y a un temps de formation durant lequel ces jeunes sapeurs ne peuvent être opérationnels ».

Lors de la réunion annuelle du CPINI, tenue dans la salle des fêtes, en présence du maire, de ses adjoints, Christian Perdrix après avoir dressé le bilan des interventions du centre de secours dont il a la charge, un bilan toujours en hausse, a à nouveau exprimé son inquiétude.

La reconnaissance des victimes

Pourtant quelle noble tâche, quel altruisme, salué par tout un chacun et particulièrement par ceux qui, victimes, ont vu ces sapeurs les relever, les secourir, les conduire dans un service d’urgence ou les rassurer à leur domicile.

Les feux maîtrisés, avant qu’il ne soit trop tard, les invalides extraits de leur maison inondée ? Ceux-là vouent une réelle reconnaissance à leurs sapeurs-pompiers.

Mais on fait souvent la confusion entre service public et volontariat. Comme le souligne le capitaine Grappin, dans ces centres cantonaux et locaux, les sapeurs-pompiers sont essentiellement des volontaires qui se mettent au service du public.    

Qu’est-ce qui fait qu’alors les vocations soient si peu nombreuses aujourd’hui ?

L’individualisme, souvent mis en cause, n’est probablement pas la seule raison. La peur, peut-être, alors que les moyens de protection et de communication n’ont jamais été aussi puissants ? Ou plutôt l’ignorance de la fonction ?

Un jeune sapeur peut être accueilli dès l’âge de 16 ans en centre de secours, bénéficier des formations adéquates et devenir opérationnel au même titre que les séniors.

Entre 12 et 16 ans, les plus jeunes peuvent intégrer le centre des Jeunes Sapeurs-pompiers (JSP) et, tout en participant à des épreuves sportives, se préparer au maniement du matériel, recevoir les premiers cours de secourisme…

Mais tout adulte actif à la possibilité d’intégrer un centre de secours.

Le major Perdrix pour le CPINI de St-Bénigne 06.10.27.29.58 comme le capitaine Grappin à Pont-de-Vaux sont toujours à l’écoute des personnes intéressées. Pour Pont-de-Vaux , prendre rendez-vous au centre de secours, place Pillard.         

C'était en février 1943. en pleine guerre. L'époque des restrictions, du marché noir et du couvre-feu.

Ils étaient 25 (13 filles et 12 garçons) nés en 1923, à avoir 20 ans cette année là.

Les garçons étaient trop jeunes au moment de la mobilisation, mais quelques-uns d'entre eux allaient connaître les chantiers de jeunesse, tandis que d'autres, réfractaires au STO, allaient grossir les rangs de la résistance.

Les vieux pontévallois reconnaîtront la plupart d'entre eux. Ils ne sont aujourd’hui que quelques survivants ayant atteint l’âge respectable de 90 ans.

On ne sait pas encore si ces derniers participeront à la journée des classes qui aura lieu le samedi 23 février.

Sur cette photographie datant de 1943, prêtée par Robert Cordier, l’un des conscrits de la classe 43, les souvenirs permettent de rappeler les noms de quelques-uns d’entre eux : notamment Mlle Augier, Colin, Suzanne Massion, Germaine Peulet, et MM. Berthaud ; Guichard (percepteur) ; Robert Cordier ; Jean Cavalier (Kada); Maurice Raymond ; « Moulette » Maurice Perret ; « Flon » Bouvet ; Georges Baday (Le Raisin) : Lubin Perret ; Albert Picq…

Pour les autres conscrits, sachez qu'il reste encore de la place pour cette journée des classes 2013. Les intéressés sont priés d'entrer en contact le plus rapidement possible avec Jérémy Moreteau, les Quatre Vents, 01190 Reyssouze, tél. 06.31.30.71.84.

Le concours de belote du foyer de l'Arquebuse a réuni 56 doublettes mardi après-midi à la salle des fêtes de Pont-de-Vaux. Pour l'équipe qui anime le club du 3e âge de la ville, c'était un record de participation. Ces doublettes provenaient des deux rives de la Saône avec un nombre de participants important de Saône-et-Loire : Romenay, Montbellet, Prissé, Mâcon...

Cet après-midi parfaitement réglé par l'organisation dans une ambiance sympathique mettait en jeu environ 400 euros pour la dotation en lots alimentaires. Ces lots ont été remis à la première doublette formée de Régis et Michel Badoux de Gorrevod, gagnants de 3

et Michel Badoux de Gorrevod, gagnants de 3 parties avec un total de 3 818 points (2 noix de jambon, 2 saucissons à cuire et 2 bouteilles de Cerdon), suivie de deux doublettes ex-æquo avec 3 parties gagnées et 3 796 points, formées d'André Prevel de Montbellet et Gérard Chaudagne d'Uchizy, de Michel Chagnard et Salvatore Mesumici de Gorrevod. La première doublette féminine était celle de Denise Duby et Monique Billon qui ont terminé 9e avec 3 576 points. A partir des deuxièmes doublettes, les concurrents ont emporté des demi-longes de porc, des rosettes, des cuisses de poulets et des flacons de parfums. Toutes les autres doublettes ont reçu des bouteilles de vin.

Poursuivant le mouvement de yoyo que l'on observe depuis l'automne, depuis le début de la semaine, la Reyssouze et la Saône, débordent largement sur les prairies. Ainsi, pour la troisième fois, le camping « Aux rives du soleil » au pont de Fleurville est entièrement sous les eaux, et la prairie de l'autre côté de la RD933 bis, au-delà de la digue qui longe la Saône, présente elle aussi pour la troisième fois l'aspect d'un grand lac.

Hier à 14 heures, la cote à Mâcon était à 4m50, on est encore loin de la cote d'alerte, mais la rivière montait

lentement et sûrement. Les averses attendues les jours prochains jusqu'à mardi ne devraient pas arranger les choses.