Parmi les 24 concurrents, venus de tous l'hexagone, en lice dans le Championnat de France Handicapés 1ère division qui s'est déroulé le week-end dernier au plan d'eau intercommunal, il y avait Denis Coillard. Il réside à Cormoz, canton de Saint-Trivier-de-Courtes, et était le seul représentant de l'Ain.

C'est à la suite d’une maladie invalidante qui l'a amenée à subir vingt-quatre interventions chirurgicales qu’il a décidé de se lancer, en 2007, dans la pêche sportive.

« Avant j'étais déjà pêcheur, mais je n'avais pas le temps de faire de la compétition car j'avais deux boulangeries-pâtisseries à Hauteville. Chaque année, dans la mesure où ma santé me l'autorise, je dispute une trentaine de concours de pêche en championnat, tout en participant à quelques épreuves pour pêcheurs handicapés. En 2011, j'ai même été vice-champion de France handicapé 2e division. Je pense que ce Championnat de France à Pont-de-Vaux sera très technique. Cet étang est poissonneux, mais ce sera une pêche de bordure où l'on ne pourra sortir la bijouterie (NDR : gros poissons), seulement des ablettes et des petits poissons chat » confiait-il avant la compétition.

Malheureusement, ce championnat aura été décevant pour lui car il n'a terminé que 20ème et se trouvait de fait relégué en 2e division avec 7 autres concurrents.

L' AIAMA, école de musique des cantons de Lugny et Pont de Vaux, ouvre ses portes le samedi 7 septembre de 10h à 17h. Le public pourra découvrir les instruments et rencontrer les professeurs dans les locaux de l'école, Rue Franche.

Les mélomanes pourront la flûte, la clarinette, la trompette, le violoncelle.

Ils pourront aussi rencontrer les professeurs de batterie et d'éveil le matin, ceux de saxophone, chant, violon, guitare l'après -midi.

 Renseignements par le président Marc Dufour : aiamapdv@gmail.com ou la coordinatrice : Marie-Angélique Goyon, m.angelique.goyon@orange.fr.

Malgré la crise économique qui sévit en Espagne, trois quads ont franchi les Pyrénées avec Marc Gobert pour participer au Mondial. Il faut dire que Marc Gobert est un vieux briscard dans cette épreuve. Ce triple vainqueur en 1990, 1994 et 1997, il compte 26 participations en 27 éditions. « Je n'en ai raté qu'une en 2003. C'est l'année où je me suis installé en Espagne » explique ce quadeur de 52 ans, toujours bon pied et bon œil, qui a monté trois équipages sur Suzuki LTR 450 (deux sur le Mondial et un sur le Contest), formés de pilotes Français et Espagnols, avec un Ecossais et un Roumain. Parmi eux se trouve son éternel complice, Etienne Opin, 51 ans, 18 participation au Mondial, et son fils Gaivin Gobert, mécanicien comme son frère, dans la concession familiale.

C'est en 2003, année sans Mondial pour Marc Gobert, que ce dernier, armurier de son état à La Varenne Saint-Hilaire en banlieue parisienne, a décidé de changer de métier. Il a franchi les Pyrénées pour créer une concession de quads Suzuki à Reus Tarragone, sur la Costa Brava.

« Nous avons bien marché jusqu'en 2007 moment où la crise économique s'est déclarée. Je vendais jusqu'alors quatre cents quads neufs à l'année et Suzuki

Espagne en distribuait 12 000 par an, ce qui dépassait le total vendu dans tous les pays d'Europe occidentale : France, Angleterre, Allemagne, Pays Bas, Belgique et Italie, réunis ».

« De 2007 à 2008 ce nombre est passé de 12 000 à 900, et en 2012, Suzuki Espagne n'a vendu que 2 quads neufs. C'est dire la chute libre du marché. Aujourd'hui on ne vend plus que des quads d'occasion. La situation économique actuelle ne m'a pas rendu la tâche facile pour monter trois équipages. Mais, chaque année pour moi, Pont-de-Vaux c'est sacré. Même si on ne trouve plus de sponsors en Espagne. Sur ces courses, on ne part pas sur des objectifs ambitieux. Je donne pour consigne : roulez, faites vous plaisir et on verra à la fin. Une course d'endurance c'est une loterie et même les meilleurs peuvent casser ».

En fin de compte Marc Gobert avait raison car l'équipage de son fils (Gavin), avec deux pilotes espagnols, a terminé 11e du Mondial et lui-même avec son ami Etienne Opin et un autre pilote espagnol, s'est classé 18e. Deux réelles performances pour des équipages privés. 

Dornhan, ville jumelée avec le canton de Pont de Vaux, organisait samedi 31 août et dimanche 1er septembre, sa grande foire artisanale et commerciale (Leistungsschau). Le comité de Pont de Vaux, invité, avait répondu à l’appel. A sa demande, deux entreprises du canton avaient très aimablement accepté de présenter leurs activités : la maison Carrara, pour les fleurs et la taille sur pierre, et la Sarl Darbon d’Arbigny, pour la micromécanique. A cet effet, le comité avait préparé des documents en allemand, apporté des informations touristiques, et organisé une dégustation de Beaujolais, saucisson et fromage français, à la satisfaction des visiteurs durant ces deux journées.         

 L’accueil du comité allemand et de la municipalité fut comme toujours très sympathique, et les onze membres de la délégation se sont déclarés enchantés de l’échange.

Les cinq membres de l'équipe de France qui ont terminé 5e au Championnat du monde disputé les 10 et 11 août à Caljina en Bosnie-Herzgovine, étaient en lice dans ce Championnat de France Handi Pêche. Concourant en individuel pour leur région d'origine, ces équipiers nationaux étaient : Jean-Noël Riboton de Chateauroux (36), Xavier Romero de Romans (26), Alain Schaeffer de Neufgrange (57), Luc Saisse de Pierrelatte (26) et Stéphane Corazza de Bordeaux (33). Cette équipe était accompagnée de son capitaine : Michel Langlois d'Orléans, qui représentait aussi sur cette épreuve la FFPC (Fédération française de pêche au coup).

Quatre de ceux-ci : Alain Schaeffer (4), Xavier Romero (10e), Jean-Noël Riboton (11e) et Luc Saisse (12e), ont assuré leur maintien en 1ère division, tous ont déjà été couronnés Champions de France.

 Mais le 5e à qui ce titre a jusque là échappé : Stéphane Corazza, classé 21e, était parmi les huit relégués en 2e division.

« Cette pêche était très difficile, très technique, et comme toujours il y a des concurrents contents et d'autres mécontents » concluait avec philosophie le coach de l'équipe de France, qui se félicitait de la qualité de ce championnat.

Après avoir éliminé, en Coupe de France des clubs, les équipes de Tramoy et de Meximieux, l'équipe fanion de la Pétanque pontévalloise était opposée vendredi soir à son homologue de Miribel. Elle était formée par Nathalie Colin, Richard Morier, Guillaume Sangoy, Didier Baissard, Samuel Montoux, André Pétrop et David Calard. En emportant d'emblée cinq jeux en tête à tête sur six, les pétanqueurs locaux prenaient une option sur la victoire. La suite de la rencontre ne sera cependant pas un long fleuve tranquille et le suspense sera prolongé d’autant. L'équipe pontévalloise, en effet, se mettait en danger en ne remportant qu'une seule partie en doublette sur les trois à disputer.

Elle s’imposait néanmoins dès la première partie en triplette mettant enfin un terme aux vélléités de ses adversaires. Dès lors la messe était dite, la deuxième partie en triplette n'a pas été jouée car Miribel, son adversaire, ne pouvait plus gagner. C'est donc sur le score de 18 à 8 en faveur de l'équipe de la Pétanque pontévalloise que les deux formations se sont séparées.

Après l'annulation du week-end du premier mai l'an dernier, puis aux mêmes dates cette année en raison d'une crue soudaine de la Saône, l'Enduro carpe de l'Alliance carpiste de Romenay, association présidée par Aurélien Bourgeois, l'homme orchestre des opérations, avait décidé de reporter cette épreuve cette fin de première semaine de septembre.

Tout a donc commencé jeudi matin vers 7 heures sur les terrains annexes de la salle Paul-Janiaud à Gorrevod, seuls équipements disponibles dans la région où ont été dressées les installations.

C'est là que les 21 équipes engagées ont assisté au tirage au sort des emplacements sur la Saône, que tous ont rejoint entre le pont d'Uchizy (au nord) et l'île de Brouard (au sud) pour 72 heures de pêche non-stop. Cette quatrième a donc débuté jeudi à 10 heures.

Résultats aujourd'hui

Elle se termine ce dimanche à la même heure.

En 2011, le total des prises en carpes s'était élevé à 787,9 kg de carpes. Un résultat très en deça de l'année précédentes où 1 667,1 kg de poissons (pour 268 prises) avaient été capturés avant d'être remis à l'eau. Mais cette année les concurrents devraient approcher ou même dépasser le total des prises de 2011 car les carpes sont en dehors de leur période de fraye (mois de mai).

D'autant plus que les vainqueurs des deux premières éditions se sont inscrits. Il s’agit de Guillaume Temporal et de Julien Vernus, de Pont-de-Vaux et Saint-Bénigne, tous deux talentueux carpistes. Il faut encore compter avec Stéphane Dorier et Laurent Duvernois d'Ouroux-sur-Saône) qui ont gagné en 2012. Cet enduro attire nombre de pêcheurs d’autres régions et cette année notamment avec des équipes venues de la région d'Orléans.  

L’union sportive Pont-de-Vaux Arbigny Entame la saison officielle en recevant Veyziat, ce dimanche à 15 heures. Défaite en coupe de France par un adversaire d’un calibre supérieur l’USPA a cependant réalisé une bonne série de matchs de préparation devant Vernoux-St-Julien (5 à 0), St-Etienne-du-Bois, (1 à 1) et dernièrement face à Laizé, (2 à 2) qui mettent l’entraineur David Carneiro en confiance :

« En coupe de France nous avons perdu dans les dernière minutes sur un but à classer dans les gags après avoir fait un gros matchs. On a un groupe franchement rajeuni par l’intégration de 5 à 6 nouveaux jeunes avec quelques joueurs expérimentés et 2 recrues qui, ayant évolué en PHR, vont nous apporter leur expérience. On va pouvoir s’appuyer sur un groupe d’une soixantaine de séniors avec les équipes réserves. »

Quel objectif vous êtes-vous fixé ?

« Gagner notre maintien le plus tôt possible et jouer les trouble-fêtes si l’on peu. Des clubs ont des ambitions. Nous on sait d’où on vient. On a failli descendre après une fin de saison difficile et on va prendre ce championnat avec humilité. Veyziat que l’on reçoit est un promu. Mais à mon sens, c’est un groupe qui s’annonce costaud. Ce match est déjà important car nous devons gagner à la maison pour avoir confiance à l’extérieur ».

De l'avis général, ces neuf heures de pêche ont été très techniques, mais quelques concurrents ont parfaitement tiré leur épingle du jeu en particulier le leader du classement du premier jour qui a totalisé plus de 3 000 points (3 kg de poissons). Le gros des bourriches au terme de chaque manche était essentiellement constitué de brèmes, carrassins et ablettes, avec quelques petits poissons-chat.

Les six premiers ont dépassé les 3 000 points en trois manches. Au bout du compte, c'est un Alsacien (5 310 points, loin devant le second à 3 830 points) : Patrick Stinner d'Ebershein, près de Sélestat dans le Bas-Rhin, qui a été sacré Champion de France 1ère division Handi-Pêche. Ce dernier souffrant d'un handicap depuis cinq ans est monté en 1ère division en 2010 pour se maintenir l'année suivante, puis redescendre en 2e division en 2012. Remonté en 1ère division cette année, il dit devoir sa 

réussite à son coach : Patrice Zaber : « Son action a été essentielle, tant sur le plan technique que physique et moral ».

La remise des prix a eu lieu dans la salle Joseph-Brayard en présence de Nicole Sallet, maire de Reyssouze, accompagnée de Nicolas Goussef, président de la fédération départementale de la pêche de l'Ain. Le budget de cette manifestation était constitué de plusieurs contributions financières allouées par la communauté de communes du canton de Pont-de-Vaux, le Conseil général de l'Ain, la Région Rhône-Alpes, la fédération départementale de la pêche, et l'Ablette bressane.

Tous les participants à ces deux journées de championnat se sont félicités d'une excellente organisation.          

1. Patrick Stinner (67) ; 2. Olivier Jayat (87) ; 3. Michel Burot (44) ; 

Pendant la période d'été, Alice Bordet et Marine Marguin, ont fait partie de la dizaine de personnes employées par la communauté de communes en contrat saisonnier, à temps complet ou a mi-temps soit au service de la piscine, soit à celui du camping « Champ d’Eté » où ils assurent les différents services apportés aux résidents.

Le gîte de groupe a été complet pendant les trois mois d'été avec une bonne occupation sur le reste de l'année, les locations des chalets étaient, en revanche, en légère baisse par rapport à l'an dernier avec un taux d'occupation de 85 % sur juin, juillet et août. Quant aux emplacements de tentes, caravanes et campings-cars, les locations ont été en très lente progression pour atteindre cet été un taux de 12 %. Après des années de progression, depuis son ouverture en 2001, ce camping semblait être, cette année, frappé de plein fouet par la crise à l’nstar de nombreux opérateurs touristiques.

L’origine des vacanciers installés sur ce camping était diverse.

Issus d'un peu toutes les régions de France, mais surtout de l'agglomération lyonnaise et du département du Rhône, comme Guy Court, ingénieur chimiste retraité, venu pour la deuxième fois de l'été au camping avec son épouse, pour retrouver d'anciennes connaissances à Pont-de-Vaux. Son père, Marcel court, ayant été gendarme à la brigade locale, il y a passé une partie de son enfance avec ses parents.

L'accueil et les animations étaient assurés par Alice Bordet et Marine Marguin, deux jeunes femmes originaires de Reyssouze et de Saint-Etienne-sur-Reyssouze, qui assuraient leurs fonctions avec compétence, dans une ambiance familiale, à l’image des pôts d'accueil aux nouveaux arrivants.

 Victorieuse de Veyziat, 1 but à 0, marqué sur un beau tir croisé de Kamal Ameur dès la 20me mn, l’US Pont-de-Vaux Arbigny a réussi son entrée dans le championnat. Il lui faudra bien sûr confirmer, mais le ton donné à cette rencontre et notamment dans la première mi-temps où l’on a vu un compartiment d’attaque très actif. Ce travail offensif était à l’origine de nombreux décalages et d’autant d’occasions de buts dont 3 à 4 particulièrement probantes. Une seule a trouvé sa conclusion, la faute à un portier visiteur excellent sur toutes ses interventions. Il reste que la solidité affichée par le onze pontévallois avec, de surcroit, une défense bien calée devant un Bruno Neveu qui sauve encore un face à face, ouvre des perspectives à ce groupe qui n’a jamais été en difficulté. Il a affiché une maîtrise de bon aloi et montré une certaine cohésion entre ses lignes. Pour un match de reprise le public a eu droit à du bon football. Il y a un certain temps que l’USPA n’avait pas ouvert sur une victoire.

L'équipe réserve s'est, pour sa part, inclinée 2 buts à 4 devant Replonges.         

« Comme dans d’autres villages du secteur, des cabines téléphoniques ont été installées à Pont-de-Vaux par France Télécom en 1992 », relève Pierre Feyeux. Il était, à l’époque, porteur du projet d’installation chez l’opérateur national.

L’entretien des cabines était alors confié à des sociétés de nettoyage privées. Au fil du temps, elles ont été délaissées par France Télécom qui comptait sans doute sur les communes d’accueil pour les entretenir. Mais il n’en fut rien. Elles se sont dégradées, au point de servir de supports pour l’affichage sauvage.

Dans quelques semaines, plusieurs de ces édicules devraient disparaître du paysage local, le conseil municipal de Pont-de-Vaux ayant décidé de faire procéder à l’enlèvement de trois des sept cabines qui se trouvent sur le territoire de la commune. Deux d’entre elles sont sur la place Joubert, et l’autre dans la montée de la route de Saint-Trivier-de-Courtes.

 Seules resteront les cabines à l’entrée du camping « Aux rives du soleil », celle du port de plaisance et les deux de la place Legrand qui devraient disparaître à leur tour en 2015. France Télécom a en effet décidé de toutes les enlever… faute de chiffre d’affaires en raison de la généralisation des téléphones mobiles.

L'AIAMA, école de musique des cantons de Lugny et Pont de Vaux, ouvrait ses portes samedi dès 10 heures le matin.

Par vagues, les parents accompagnés de leurs enfants sont venus nombreux, rencontrer les professeurs, faire essayer les instruments et inscrire les élèves aux différents cours.

A ce jour, 76 instrumentistes sont déjà comptabilisés : piano 26, guitare 15, violon 9, flûte 7, violoncelle 2, saxophone 4, clarinette 2, batterie 6, trompette 3 (cet instrument est une nouveauté de cette rentrée) et chant 2. Une dizaine d'inscriptions ont également été faites en éveil des petits.

Des inscriptions sont toujours possibles en chant, violoncelle, trompette, clarinette et saxophone.

Contacter Marc Dufour, président au 06.40.88.09.98 ou courriel : aiamapdv@gmail.com ou/et Marie-Angélique Goyon, coordinatrice, courriel : m.angelique.goyon@orange.fr.

A noter : Assemblée générale dans ses locaux le vendredi 13 septembre à 19 heures. Reprise des cours le lundi 16 septembre à 17 heures.

Les 30e journée du patrimoine ont lieu les samedi 14 et dimanche 15 septembre, sous l'égide de l'OTSI du canton de Pont-de-Vaux, plusieurs communes, associations et propriétaires particuliers ouvrent des sites patrimoniaux au public : églises, monuments, propriétés, espaces naturels... où se tiendront des animations pour certains d'entre eux.

Programme des visites et animations :

Vendredi 13 septembre :

Musée Antoine-Chintreuil à 20 h 30 : découverte du Pansori avec une troupe de théâtre coréenne en présence de Bang Hai Ja. Entrée gratuite.

Samedi 14 septembre :

Boz :

De 10 heures à 18 heures : visite libre de l’église placée sous le vocable de Saint-Sébastien. Elle remonte au XVème ou au XVIème siècle. De l'ancienne église gothique, il reste le choeur et le chevet à fond plat.

Chavannes sur Reyssouze :

Domaine de Mareste de 14 heures à 19 heures : visite guidée à la demande

Chevroux :

De 9 heures à 18 h 30 : visite libre de l’église du XIIe siècle (fresques du XIVe siècle et charpente apparente).

Gorrevod :

De 9 heures à 18 heures : visite libre de l’église du XIIIème siècle. Clocher octogonal et nef d’époque romane. Le reste de l’édifice est d’époque gothique (peintures murales de la fin du XVème siècle).

Ozan :

De 10 à 18 heures : visite libre de l’église rénovée et de l’exposition organisée par les bénévoles de la Bibliothèque municipale.          

Pont de Vaux :

Maison de l'eau et de la nature de 14 à 18 heures : Visites de l'espace interactif où les nouvelles technologies permettent de découvrir l'univers d’une nature aux multiples trésors. Entrée gratuite.          

Le domaine de Mareste à Chavannes-sur-Reyssouze.          

Eglise Notre-Dame, visite libre de 9 à 18 heures. Eglise construite du XVème au XIXème siècle. Le mobilier provient de la Chartreuse de Montmerle à Lescheroux. Elle abrite un ensemble unique de peintures religieuses exécutées par Nicolas Brenet entre 1762 et 1769.

Musée Chintreuil de 14 à 18 heures : visite libre (entrée gratuite).

Saint-Etienne-sur-Reyssouze :

Ferme de Peignant de 13 h 30 à 18 h 30 : visite libre de la ferme et sa cheminée sarrasine.

Sermoyer :

De 9 heures à 18 heures : visite libre de l’église aux 5 clochers.

Site des charmes : visite des dunes de sable sur les sentiers de découverte balisés.

Dimanche 15 septembre :

Boz :

De 10 heures à 18 heures : visite libre de l’église placée sous le vocable de Saint-Sébastien. Elle remonte au XVème ou au XVIème siècle. De l'ancienne église gothique, il reste le choeur et le chevet à fond plat.

Chavannes sur Reyssouze :

Domaine de Mareste de 14 heures à 19 heures : visite guidée à la demande

Chevroux :

De 9 heures à 18 h 30 : visite libre de l’église du XIIe siècle (fresques du XIVe siècle et charpente apparente).

Gorrevod :

De 9 heures à 18 heures : visite libre de l’église du XIIIème siècle. Clocher octogonal et nef d’époque romane. Le reste de l’édifice est d’époque gothique (peintures murales de la fin du XVème siècle).

Ozan :

De 10 à 18 heures : visite libre de l’église rénovée et de l’exposition organisée par les bénévoles de la Bibliothèque municipale.

Renseignements et documentations disponibles à l'Office de tourisme du canton, place de Dornhan (port de plaisance) à Pont-de-Vaux. Tél : 03.85.30.30.02. - Courriel : pont.de.vaux.tourisme@wanadoo.fr - Site Web: www.cc-pontdevaux.com  

Le magasin « Brin de nature » a ouvert ses portes jeudi dernier au 74 de la rue de Lattre de Tassigny à Pont-de-Vaux, en lieu et place de « Fleurs in city », fermé depuis quelques mois pour cause de retraite de l'ancien gérant.

La nouvelle propriétaire est Pauline Raidelet. Originaire de Montracol, cette jeune femme de 23 ans dispose d'un solide bagage de fleuriste.

Elle a suivi des études à Lyon d’abord confirmées par un Certificat d’aptitude professionnelle, puis par un Brevet professionnel.

Pauline Raidelet a ensuite parfait sa formation en travaillant dans un magasin de fleurs à Saint-Amour dans le Jura.

Elle ouvre son propre commerce à Pont-de-Vaux.

Au cours des semaines précédentes, le magasin a subi des travaux de rénovation qui l'ont notoirement embelli avec de belles couleurs, sobres et chatoyantes.

Après ces quelques jours d’ouverture Pauline Raidelet se dit très satisfaite car nombre de d’acheteurs lui ont déjà rendu visite.

L'école élémentaire du Grand Cyprès à Pont-de-Vaux n'a pas connu de chantier important comme les années précédentes (réfections de classes, travaux d'isolation etc...) mais seulement quelques petits travaux d'entretien.

 C'est donc dans un établissement pratiquement refait à neuf au cours des 5 dernières années que l'équipe pédagogique a préparé la rentrée scolaire pour accueillir 142 élèves (moins 3 élèves par rapport à 2012) répartis en sept classes dont l'effectif moyen est 22 élèves.

Au cours de la précédente anné, Hugues Savey, le directeur, a été remplacé par José Serrat qui a assuré l'intérim, en attendant l'arrivée de Céline Darbon qui prend le poste de direction. Cette dernière connait bien l'établissement pour y avoir été enseignante avant de partir à l'école de Cruzilles-les-Mépillat, canton de Pont-de-Veyle, pendant quatre ans. Mme Darbon assure la classe de CM1-CM2 avec Caroline Dubois qui la remplace le mardi. Le seul homme de l'école : José Serrat s'occupe des CM2. Les autres classes ont pour enseignante : Valérie Ducroux  CE2-CM1), Nadine Vincent (CE1-CE2), Delphine Perretant (CE1), remplacée

le jeudi par Agnès Benoît, Hélène Vaucher (CP), et la CLIS (classe pour l'inclusion scolaire) est assurée par Céline Zoppé. Monique Pittaluga, en poste dans cette école, ayant été nommée au RASED (réseau d'aide spécialisé). Cette équipe compte donc deux nouvelles enseignantes : Céline Darbon et Agnès Benoît. Par ailleurs quatre agents communaux sont affectées à des tâches diverses au sein de cet établissement : Christine Carrière, Valérie Billoud, Patricia Perrin, et Michelle Monin laquelle partage son temps entre l'école élémentaire et le nouveau restaurant scolaire ouvert aux élèves de primaire et de maternelle. Par le passé, ces enfants prenaient leurs repas de midi au collège.

Le projet d'école étant mis en sommeil pour quelques mois, la grande nouveauté de cette année sera la création d'un blog sur l'Internet où l'ensemble des activités de l'école seront mises en ligne à travers des textes et des photos

Ce premier groupe de bambins a été suivi d'un second service d'une soixantaine d'élèves de l'école primaire. Soit un total de quatre-vingts repas servis le jour de la rentrée. Au menu : salade verte tendre pousse, spaghetti à la bolognaise, brie et compote de pommes.

Ce menu était fourni par RPC à Manziat bénéficiaire de l'appel d'offre qui avait préalablement été lancé. Cette société assure les livraisons des repas en chaîne froide. C'est à dire en plats cuisinés à l'avance, réfrigérés puis réchauffés sur place. Pour cette grande première, Roger Ducher, fondateur et responsable de cette entreprise, était présent. A la fin de la semaine, le nombre de repas servis dépassait la centaine.

Ce nouveau restaurant scolaire fonctionne en self-service, formule qui plait beaucoup aux enfants. Pour mange, ils disposent d'une grande salle claire et fonctionnelle équipée de 19 tables, des tables et chaises adaptés à la taille des enfants (petits ou grands).

As capacité d’accueil est de 128 places. Des sanitaires, une chambre froide, un coin cuisine, deux fours, un chauffe-assiettes, différents ustensiles, une plonge dotée d’une machine pour le lavage de la vaisselle complètent cet équipement.

Le montant de cette construction neuve et de ces équipements atteint 700 000 euros hors taxes.

 Une subvention de 50 000 euros a été allouée par le Conseil général de l'Ain. Le reste est financé par commune grâce à un emprunt de 500 000 euros.

Cet établissement emploie Christelle Picard comme chef de service. Elle est aidée de Mmes Marguin et Monin, mais d'autres employées communale peuvent intervenir pour aider ponctuellement au service.

Malgré cet investissement lourd et les charges de personnel pour la commune, la municipalité n'a pas changé le tarif du repas qui reste à 3,30 euros, au même prix que précédemment au restaurant du collège où les enfants ont déjeuné jusqu'en juin dernier.

Pour le paiement des repas, la commune a changé de dispositif avec la mise en vente de tickets prépayés par les familles. La vente de ceux-ci se fait sur place le jeudi

Le tournoi open du TCP, dit « gourmand » en raison de la dotation mise en jeu, à savoir un week-end au Château de Pizay, des repas gastronomiques au Saint-Laurent et au Château de Besseuil remis aux finalistes, a rassemblé 58 participants. Cette épreuve a commencé le 24 août sur les courts du complexe sportif des Nîvres à Pont-de-Vaux. Il s'agissait essentiellement de tennismans car l'équipe du président Christophe Loiseau a été dans l'impossibilité de constituer un tableau féminin faute de participantes.

Les finales se sont déroulées dimanche, jour de pluie, à l'abri du court couvert. Pour le TCP c'est Jean-Paul De Sousa qui est allé le plus loin en parvenant en final des plus 35 où il a du abandonner sur blessure.

Cette épreuve marquait donc la rentré du tennis. Les premières inscriptions prises cette semaine ont montré que l'effectif devrait être cette année d'une centaine d'adhérents.

Résultats des finales :

4e série :

Lionel Fougerousse de Charnay-lès-Mâcon (30/1) l'emporte face à Charles Bertrand de Cluny (30/3).

35 + : Lionel Fougerousse de Charnay-lès-Mâcon (02/1) l'emporte sur abandon (blessure) contre Jean-Paul de Sousa de Pont-de-Vaux.

Finale générale :

Christophe Guibert de Charnay (15/1) gagne face à Fabrice Laurent de Bâgé (15/2).

Comme prévu, la victoire n'aura pas échappé à l'équipe formée de Guillaume Temporal de Pont-de-Vaux et de Julien Vernus de Saint-Bénigne qui ont dominé de la tête et des épaules cette 4e édition en totalisant 31 prises représentant un poids total de 176 kg. Ces deux jeunes gens ont ainsi remporté leur troisième victoires en quatre participations.

Sur ces 72 heures de pêche, 101 captures pour un poids de 648,3 kg ont été totalisées, soit une moyenne de 6,419 kg par concurrent. Il s’agissait essentiellement des carpes communes. La plus grosse pesait 12,6 kg, la plus petite 3,7 kg). Sur 21 équipes, quatre sont restées sans aucunes prises. Toutes les prises ont été remise à l'eau.

Aurélien Bourgeois, président de l'Alliance carpiste « Bress'Saône », a chaleu-reusement remercié les présents et leur a donné rendez-vous pour le week-end du 1er mai 2014, au 5e enduro carpiste.

En cas de crue et d'annulation, une date de repli est prévue au mois de septembre.  

Résultats :

1. Guillaume Temporal et Julien Vernus de Pont-de-Vaux et de Saint-Bénigne (31 prises pour 176,1 kg) ; 2. Sébastien Beffy et Stéphane Drapier de Romenay (17 prises pour 113,8 kg) ; 3. Sétphane Dorier et Laurent Duvernois d'Ouroux-sur-Saône (11 prises pour 82,3 kg) ; 4. Jérôme Grézaud et Sébastien Roux de Saint-André d'Huiriat (7 prises pour 44,9 kg) ; 5. Lionel Ecochard et Nicolas Buiron de Crottet et Dommartin (7 prises pour 44,9 kg) ; 6. (ex aequo) Jonathan Szabo et Jean-Fred Coen de Saint-Germain-du-Plain et Poncharat (4 prises pour 31,7 kg) et Yoann et Frédéric Blondain de Tournus et Saint-Croix (4 prises pour 31,7 kg ; 8. Benoît Perrin et Thibaut Raguet d'Uchizy (5 prises pour 31,5 kg) ; 9. Florian Carrière et Yves Lussiaud de Pont-de-Vaux (5 prises pour 24 kg) ; 10. Anthony et Florian Monin de Reyssouze (3 prises pour 23,7 kg)...

Après trente-six ans passés comme intendante au collège Antoine-Chintreuil où elle a connu cinq principaux, dont quatre étaient présents à son pôt de départ, Marie-Thérèse Girard a fait valoir ses droits à la retraite. En cette nouvelle rentrée scolaire, Pascal Denatte lui succède dans cette fonction. Le nouvel intendant a ses racines à Mont-Saint-Vincent, en Saône-et-Loire où il a vécu son enfance. Il était adolescent lorsque ses parents se sont installés à Montceau-les-Mines et c’est dans le lycée de cette ville qu’il a fait ses études. M. Denatte a débuté dans la vie active au ministère de la défense, à Paris, et a poursuivi sa carrière dans l'Education nationale. Il y est entré en 2003. Avant sa nomination à Pont-de-Vaux, il était en poste à la DDCS (direction départementale de la cohésion sociale) du Rhône.