La saison 2013/2014 arrive à grands pas et, pour le Club de Tennis de Table, la rentrée se prépare. Depuis fin juin, l’association a mis en place un nouveau bureau. Celui-ci est composé de :

Isabelle Azalbert, Présidente. Yves Michel, Trésorier. Marie-Pierre Paquet, secrétaire. Séverine Peutin, responsable des jeunes. Raymond Delisle, interlocuteur privilégié pour l'organisation des manifestations du club.

Saison 2013/2014

Les permanences au Complexe des Nivres pour les inscriptions et les licences ont lieu les :

- samedi 31 aout de 10 à 12 heures, permanence assurée par Isabelle Azalbert et Severine Peutin.

- lundi 2 septembre à partir de 20 heures, permanence assurée par Raymond Delisle,

- mercredi 4 septembre de 17 h 30 à 19 h 30 permanence assurée par Marie-Pierre Paquet et Yves Michel

- samedi 7 septembre de 11 à 12 heures, permanence par Raymond Delisle

Il est rappelé aux personnes intéressées qu’elles doivent fournir un certificat médical rempli par le médecin traitant. Ce certificat est obligatoire et téléchargeable sur le site du club "www.ttpv.org" ainsi que la fiche d'inscription.

La reprise des entrainements aura lieu le 9 septembre à 17 h 3O, aux Nivres. Une séance d'essai est offerte aux nouveaux licenciés. La présidente et son bureau espèrent revoir les équipes en pleine forme et motivées pour réussir la saison 2013/2014.

Le 10 août une petite équipe s’était consacrée à la mise en place des premières barrières hautes de la zone publique. Les bénévoles se sont remis au travail samedi dernier pour commencer à aménager le circuit de la prairie. La date approche en effet. Le 27e Mondial du quad est prévu les 30, 31 août et 1er septembre. A la tête de ces groupes de volontaires : Bernard Maingret, le président de l'association organisatrice, Maurice, son frère, fondateur de l’épreuve, et Rodolphe, le fils de Maurice, le dernier ? acteur de la famille Maingret.

Cette année, 87 équipages sont attendus sur le Mondial, et 65 équipages sur le PDV Quad Contest, qui est un tremplin pour amateurs avant qu’ils viennent jouer dans la cour des grands. Des chiffres en baisse mais malgré tout satisfaisants au regard d'un marché du quad durement frappé par la crise depuis deux ans.

Dans la semaine qui vient, l'organisation va monter en puissance et atteindra un total de quelques trois cents bénévoles pendant les deux jours de courses. Sans l'endurance moto des 8 heures de Pont-de-Vaux qui se déroulait jusqu'alors le week-end précédent, reportée en 2014 pour des raisons financières, l'organisation est considérablement allégée.

 Mais le travail de mise en place n'en demeure pas moins important car en une dizaine de jours, l'équipe bénévole doit mettre en place l'ensemble des infrastructures : bungalows, chapiteaux, barrières de police (3 km)...

S'y ajouteront le balisage du circuit (10 km de banderoles publicitaires et 350 balises d'autoroute) et la pose de 300 meules de paille rondes de 300 kg pour sécuriser le parcours.

Comme d'habitude l'Union commerciale est partenaire de cette manifestation et propose dans plusieurs commerces adhérents des billets d'entrée à prix réduit : 12 euros au lieu de 18 euros pour le samedi, et 10 euros au lieu de 15 euros pour le dimanche. Ces billets sont en vente au Bar Restaurant « Le 1901 », Bar des sports BDS Café, au Café Français PMU (place Joubert), à la Quincaillerie Bugaud, chez Optique Wolff, a « L'Atmosphère » (rue de Lattre), et à la Marbrerie-fleurs Carrara (rue Adrien-Thierry).

A peine installé, le circuit du mondial est déjà pillé par les prédateurs. 

« Cela représente plus de 3 000 euros et un surplus de travail de trois jours » tempêtait mardi matin l'un des bénévoles qui assurent l'aménagement du circuit de la praire en vue du Mondial du quad.

En effet, en une vingtaine de points de la piste, les fils électriques des poteaux d'éclairage ont été sectionnés à mi-hauteur par des individus  qui ont tenté de tirer les câbles en cuivre les reliant à l'aide d'un véhicule. Tentative avortée car ces deniers sont enterrés.

En revanche, 500 mètres de fil qui étaient posés au travers une gaine installée le long de la ligne droite de la piste, et donc d'un accès plus facile, ont quant à eux disparu.

Les auteurs de ces vols, ou du moins les receleurs qui en sont les destinataires ou les commanditaires, sont souvent des équipes assez spécialisées dans l'écoulement de ce genre de marchandises.

Et police et gendarmerie savent généralement dans quelle diection porter leurs regards au moment de l'enquête.

Mais les auteurs qui ne sont pas des assassins, ni des criminels aux yeux de la loi, à défaut d'être tout de même de sacrés nuisibles, ne risquent pas grand chose et ils le savent.

Il faut donc apprendre à vivre avec, comme d'autres vivent avec les rapaces..

Le dernier combattant de l'Ain engagé dans les FFL (Forces Françaises Libres) pendant la guerre, s'est éteint samedi dernier à son domicile de Pont-de-Vaux où il vivait depuis une paisible retraite depuis novembre 1972. Selon Jean Rivon, président de l'association nationale à la mémoire des Maquis de l'Ain et du Haut-Jura, les combattants qui avaient rejoint le général de Gaulle en Angleterre étaient encore une cinquantaine dans le département quelques temps après la guerre formés en association, et Charles Lecordier était le dernier d'entre eux dans l'Ain.

Charles Lecordier a été conduit à la sa dernière demeure mercredi dernier en présence des porte-drapeaux d'anciens combattant du secteur de Pont-de-Vaux et d'une assistance nombreuses émue et recueillie qui a assisté à la cérémonie religieuse en l'église de Pont-de-Vaux.

Né d'une famille de cultivateurs le 28 mars 1922 à Mobecq, dans la Manche, Charles Lecordier, s'était engagé dans la marine en juillet 1942 pour embarquer à Marseille à la fin du mois d'août suivant sur « La Jamaïque » en partance pour Dakar. C'est dans ce port qu'il allait embarquer sur le cuirassé Richelieu qui devait quelques mois plus tard, le 30 janvier 1943, appareiller en vue d'être modernisé à l'arsenal de Brooklyn, aux Etats Unis. Arrivé à New York le 12 février 1943,

Charles Lecordier rejoint alors les FNFL (Forces Navales Françaises Libres), nous sommes le 19 mai 1943, pour embarquer quelques temps plus tard au port d'Halifax, en Nouvelle Ecosse (Canada britannique) sur le « Le Pasteur » (bateau français saisi par les anglais et transformé en transport de troupes). A sont débarquement le 22 juillet 1943 à Greenock, en Ecosse, il retrouva l'un de ses frères qui

allait malheureusement trouver la mort dans les combats de libérations de la France. Intégré dans l'aéronavale comme radio, Charles Lecordier participa par la suite au débarquement du 6 juin 1944, puis à la campagne de France, avant de s'engager dans la Gendarmerie où en poste à la brigade de Pont-de-Vaux, il convola en juste noce avec une pontévalloise, Renée, son épouse, qui devait lui donner trois filles. Ensuite, ce fut la Garde républicaine, des mutations au sein d'unités territoriales à Madagascar et aux Comores, puis, entre autre, une affection au groupement blindé de Satory, où il termina à la retraite au grade d'adjudant-chef.

Charles Lecordier avait eu l'immense tristesse de perdre Francis, l'un de ses petits-fils, le 19 avril 2011, dans un tragique accident de moto. Il ne s'en était depuis jamais remis. Sa disparition laisse un grand vide dans sa famille et parmi ses amis anciens combattants avec lesquels il participait fidèlement à toutes les cérémonies commémoratives.

Pont-de-Vaux sera soir la douzième et ultime étape de « TV en campagne, votre village sur un plateau ».

Ce spectacle est né en Bresse Louhannaise à l'automne 2013, sous l'impulsion d'un petit groupe animé par Denis Lamard, président de l'association les Bresseur d'R. En partenariat avec la compagnie Pièces et main d'oeuvre de Louhans, la Grange Rouge à La Chapelle-Naude, la Plateforme PDV. Net, SLC et le Théâtre de l'Ouvroir, deux associations pontévalloises, propose un spectacle humoristique gratuit où la population de la région est conviée.

Ce spectacle présente les tribulations et avatars d'une équipe de télévision parisienne arrivant à la campagne sur une place de village.Il s'agit de Hugo et Sandrine, deux animateurs vedettes, qui déclenchent l'hilarité dans le public en montrant leurs caprices de star sur le plateau. Ce plateau où est enregistré l'émission dans les conditions du direct, sera dressé mercredi soir à partir de 20 h 30 en plein air dans la cour de l'Arquebuse, et non sur la Promenade où il était initialement prévu. Il pourra être installé dans la salle des fête de Pont-de-Vaux en cas de mauvais temps. 

Parmi les acteurs de cette soirée, on reconnaitra une dizaine de membres de SLC et du Théâtre de l'Ouvroir, notamment Séverine Douard.

 Cette dernière joue le rôle de Sandrine, l'animatrice de l'émission, qui va de surprises en déconvenues jusqu'à la scène finale qui a préalablement été tournée au château de la Joncière à Gorrevod.

Si vous avez envie de rire en voyant les dérives du monde de la télévision, rendez-vous mercredi soir dans la cour de l'Arquebuse pour assister à « TV en campagne, votre village sur un plateau ». Dans le cas où vous auriez suivi l'une des onze émissions précédentes transmises en direct sur le site http://www.tvencampagne.fr/, ne manquez pas surtout de vous rendre sur le plateau, vous serez surpris, car tout n'est pas montré « en live » sur l'Internet. Les organisateurs demandent au public de revêtir des tenues colorée

C'était à St-Trivier-de-Courtes

A peine le salon des arts pontévallois était-il terminé que déjà deux éminents membres de cette association décrochaient leurs toiles pour les accrocher à Bourg-en-Bresse. Au cours de ce salon d'un mois à Pont-de-Vaux, le public a pu admirer quatre oeuvres de leurs oeuvres : « The genius » et « Sortie de bain » pour Dominique Chardon, « Couleurs d'été » et « La cabane du cyprès » de Serge Jacquiller. Tous deux se sont installés du 26 août au 2 septembre dans la Salle figuration libre, à l'Hôtel Marron de Meillonnas, 5, rue Teynière à Bourg-en-Bresse, pour

La seconde visite de la ville proposée par l'Office de tourisme du canton de Pont-de-Vaux a rassemblé 35 personnes mardi soir. Il concernait un public de résidents et de vacanciers des deux rives de la Saône, mais encore de quelques anciens pontévallois qui avaient ainsi l'occasion de se remémorer l'histoire de leur ville natale.

Cette balade fort instructive a été guidée et commentée à travers les rues de la cité par Nelly Catherin, directrice du musée Antoine-Chintreuil, qui a sorti des oubliettes quelques vielles histoires..

L'une d'elles témoignait qu'au début du XXe siècle partaient annuellement des marchés hebdomadaires : 500 paires de boeufs, 7 500 veaux, 7 000 porcs gras, 140 000 poulets, 16 000 lapins, 130 000 kg de beurre et 130 000 douzaines d'oeufs, à destination de Lyon, de Paris et de la Suisse. Autre temps, autres moeurs, adieu vaches, cochons, couvées... à part le petit marché aux volailles et animaux vivants qui persiste aujourd'hui sur la Promenade. Il y a belle lurette que les productions agricoles ont pris d'autres chemins pour être commercialisés. Il n'en demeure pas moins que le marché          

hebdomadaire reste très attractif pour les marchands et les visiteurs comme on l'a vu ces deux derniers mercredis du mois d'août.

Cette visite passait comme d'habitude par le port de plaisance et l'histoire du canal depuis la fin du XVIIIe siècle, l'ancien couvent des Ursulines, les religieuses et la fonderie de canons de la Révolution (800 pièces fabriqués en quatre ans avec 1 600 cloches fondues en provenance des églises de l'Ain, de Saône-et-Loire et du Jura). C'était ensuite la maison du bailli et son architecture particulière, la cure et sa charpente incombustible en briques (11 000 en voûtes, en appui sur des demi-voûtes en arc-boutants), une particularité qu'on ne trouve en France que dans un autre immeuble construit par son inventeur à Ferney-Voltaire : Léonard Râcle, l'architecte du canal.

Cette visite s'est comme d'habitude achevée à la tombée de la nuit au salon d'honneur de l'Hôtel de ville où l'OTSI offrait la tarte bessane et un verre de Cerdon, et sur un dernier air chanté par Nelly Catherin : "Summer Time" de George Gershwin, qui a ravi l'auditoire.

L' AIAMA, école de musique des cantons de Lugny et Pont de Vaux, ouvre ses portes le samedi 7 septembre de 10h à 17h. Venez découvrir les instruments et rencontrer les professeurs dans les locaux de l'école, Rue Franche. N'hésitez pas à venir essayer la flûte, la clarinette, la trompette, le violoncelle. Vous pourrez aussi rencontrer les professeurs de batterie et d'éveil le matin, ceux de saxophone, chant, violon, guitare l'après -midi. Renseignements par le président Marc Dufour : aiamapdv@gmail.com ou la coordinatrice : Marie-Angélique Goyon, m.angelique.goyon@orange.fr tél : 06 07 25 53 31.

Les « sorties nature au pays du courlis » proposées en juillet et août par la Maison de l'eau et de la nature, ont connu un très vif succès. En effet, guidées et commentées par Marc Borrel de l'association Cardamine, toutes les demandes n'ont pu être satisfaites (une quarantaine de refus) par manque de places.

Les douze sorties programmées ont réuni 137 personnes de tous âges. Tout d'abord à pied lors de trois sorties sur la zone des dunes du site des Charmes à Sermoyer et dans la grande prairie qui borde la Saône aux îles de la Motte. Les neuf autres se sont déroulées en canoë sur Saône à l'embouchure de la Seille, aux îles de la Motte et vers le confluent avec la Reyssouze. De deux prévues à l'origine, sept supplémentaires ont été programmées. C'est dire leur succès.

Bénédicte Fourneau, chargée de projet à la Maison de l'eau et de la nature, et Marc Borrel, guide et animateur nature, les deux initiateurs de ce projet soutenu par le CEN (conservatoire d'espaces naturels) Rhône-Alpes, sont satisfaits au point de déjà reconduire un programme encore plus étoffé au cours de l'été 2014.

« Ces sorties en canoë sont instructives, ludiques et sportives. Elle plaisent à tout le monde en faisant découvrir la nature d'une autre façon » plaide Bénédicte Fourneau. Pour l'une des personnes qui a participé à une sortie en canoë : « çà m'a beaucoup plus de pagayer sous le soleil, même si c'est un peu fatigant, dans un bel environnement en écoutant les explications passionnantes de M. Borrel ».

Pour l'une des personnes qui a participé à une sortie en canoë : « çà m'a beaucoup plus de pagayer sous le soleil, même si c'est un peu fatigant, dans un bel environnement en écoutant les explications passionnantes de M. Borrel ».

L'animateur nature compte bien renouveler sa participation à la tête des sorties l'an prochain : « pour la sortie canoë sur Reyssouze qui était inédite, nous avons l'île de Brouard tout près de l'embouchure où nous avions vu cette année de nombreuses variétés d'oiseaux, dans des proportions semblables à celles des îles de la Motte ».

Voilà donc un nouveau domaine d'exploration qui devrait plaire aux prochains adeptes de ces sorties qui s'annoncent d'ores et déjà très nombreux car tous en redemandent.

Au sein du groupe qui a visité, mardi soir, la cité pontevalloise sous l’égide de l’office de tourisme, se trouvait Nima Tsering Sherpa, un Népalais. Il est guide de trekking au Népal. Âgé de 29 ans et s’exprimant dans un français parfait, il effectue en ce moment une tournée de trois mois en France.

« Je suis de passage à Pont-de-Vaux chez Geneviève et Alain Gauthier qui m’ont invité, comme plusieurs Français que j’ai eus comme clients en randonnées de haute montagne. Je suis arrivé chez des amis parisiens, puis avec d’autres amis, j’ai visité la Bretagne, la Normandie, les Pays de la Loire, la Côte d'Azur. Après Pont-de-Vaux, je m’arrêterai à Dijon où les personnes qui m’invitent m’emmèneront à Paris où je reprendrai l’avion pour le Népal.

Mon travail consiste à emmener pendant plusieurs jours des touristes vers des sommets de plus de cinq mille mètres, par exemple aux camps de base de l’Everest et de l’Annapurna. Je fais ce métier depuis cinq ans. Avant, j’étais porteur sur ce genre de randonnée. Je n’ai pas fait d’études particulières.

 J’ai arrêté l’école vers 20 ans, à cause de problèmes familiaux après avoir perdu mes parents.

J’ai appris le français pendant quatre ans à l’Alliance française à Katmandou. Depuis 2008, je travaillais comme guide de trekking pour l’agence de voyage française Voyageur du Monde, et à partir du mois d’octobre, je serai chez Terre d’aventure, une autre agence de voyage française.

La France est un pays merveilleux, avec une histoire très riche, un superbe patrimoine, de magnifiques monuments, de beaux paysages de montagne, de mer et une excellente gastronomie. Ce séjour est pour moi très enrichissant car je perfectionne mon français. »

Pour les deux concours de pêche du 15 août, plusieurs compétiteurs ont profité de l'occasion pour s'entrainer en vue du Championnat de France handicapés 1ère division qui se déroulera les samedi 31 août et 1er septembre sur le plan d'eau intercommunal de Reyssouze.

Parmi ces derniers se trouvait Jean-Pierre Dubois, qui est administrateur à la Fédération française de pêche au coup et membre de la commission des pêcheurs handicapés depuis de nombreuses années. Habitant à Reims et il assure aussi la présidence de la plus importante association de pêcheur de cette ville.

Il est, de par ses fonctions fédérales, un habitué des concours de pêche de Pont-de-Vaux Il sera bien évidemment présent à ce championnat de France. Cette épreuve réunira 24 participants venus de toutes les régions de France pour disputer trois manches.          

La logistique sera assurée par l'Ablette bressane qui tiendra sur place un buffet et une buvette ouverts au grand public à qui il est demandé d'encourager les concurrents.

La rentrée approche à grands pas, les activités du club reprennent dès la première semaine du mois de septembre. Les séances de musculation débuteront le mardi 3 septembre, les entraînements de judo et jujitsu sont annoncés le mercredi 4 septembre, le taïso le jeudi 5 septembre (voir les horaires affichés au dojo des Nîvres).

Le Judo club pontévallois propose cette année une nouveauté : des cours de stretching postural (exercices de tonification du dos et des étirements sur respiration appropriée). Il se dérouleront tous les lundis de 18 h 30 à 19 h 30 à partir du 16 septembre. La première séance à titre d'essai est offerte.

Par ailleurs les dirigeant du club informent que des permanences pour les inscriptions se tiendront au dojo du complexe sportif des Nivres pour les disciplines suivantes :

Judo et ju jitsu : les mercredi 4 et 11 septembre de 13 h 30 à 20 heures, et le samedi 7 septembre de 9 heures à 12 heures.

Mise en forme et musculation : le mardi 3 septembre de 18 heures à 21 heures, et le jeudi 5 septembre de 19 heures à 20 h 30.

En dehors de ces dates, les inscriptions seront prises par les professeurs aux heures de cours.

Pour tout renseignement, contacter le président : Michel Colin au 03.85.30.99.74 (après 20 heures).

D'ici là le bureau du Judo club donne rendez-vous à tous pour son 17e vide-grenier qui est prévu le dimanche 1er septembre 2013 à Saint Bénigne (vers la mairie) entre 8 heures et 18 heures. Tarif des emplacements pour les exposants : 1,50 euros le mètre. Renseignements au 03.85.30.60.39.

Par ailleurs, comme chaque année, le Judo club sera présent aux entrées du Mondial du quad les samedi 31 août et dimanche 1er septembre.

La Promenade était dimanche le théâtre de la 5e journée du championnat des clubs où sont en lice sept clubs de l'Ain (le 8e inscrit : Saint-Rambert-en-Bugey a déclaré forfait) jouant la montée en Régional. Cette journée a vu six équipes en découdre : Pont-de-Vaux contre Péronnas, La Burgienne contre Tramoy, Ambérieu-en-Bugey contre Lagnieu. Jusque là seuls Pont-de-Vaux et Péronnas étaient invaincus au terme des quatre premières journées. D'où une finale indécise jusqu'au bout pour désigner le leader et une victoire qui est revenue sur le fil aux pontévallois sur le score de 20 à 16, après la gagne de 3 tête-à-tête sur 6, 2 doublettes sur 3 et une triplette sur 2.

L'équipe de la Pétanque pontévalloise était composée de Samuel Mantoux, André Pétrop, David Callard, Stéphane Rablet, Damien Rozier, Guillaume Sangoy, avec Stéphane Chagnard et Jean-Pierre Vaissaud comme remplaçants. Malgré cette victoire sur Péronnas, tout n'est pas gagné pour les pétanqueurs pontévallois à qui il reste quatre journées à disputer jusqu'en novembre pour tenter de constituer une avance qui serait synonyme d'accès au niveau Régional.

Il y a tout lieu de penser que cette pôle position leur permettra d'être plus confiant au cours des prochaines journées.
D'ici là l'équipe pontévalloise reste aussi en lice dans la Coupe des clubs pour être venue à bout sans faire de détail face à ses homologues de Tramoy (31 à 0) et de Meximieux (29 à 2). La journée suivante est prévue le vendredi 30 août à 21 heures contre Miribel au boulodrome des Nîvres. Les dirigeants de la Pétanque pontévalloise souhaitent la présence d'un nombreux public pour encourager ses joueurs.

Après les averses de la matinée qui avaient laissé craindre le pire aux organisateurs de l'AJLC (association jeunesse et loisirs de Chevroux), c'est sous un beau soleil jouant à cache-cache avec les nuages qu'a débuté samedi après-midi la 4e fête médiévale. Elle s'étendait le long de la berge du plan d'eau intercommunal de Reyssouze. Dès l'ouverture des portes, le public s'est présenté en nombre pour assister aux animations de l'après-midi.

De la chevalerie au dressage de rapaces

C'était tout d'abord le tournoi des Ecuries-de-Lorien, une confrérie de chevaliers se mesurant en joutes équestres. Ils chevauchaient en armures étincelant sous le soleil, sur de superbes destriers. C’était une très belle entrée en matière. Quelques instants plus tard, autre animation ô combien intéressante : La Mesnie Saint-André 1470, et son campement d'artilleurs Bourguignons. Cette troupe spécialisée dans l'artillerie médiévale a mis en oeuvre ribeaudequin à mitraille, serpentine, couleuvrine à tourillons, veuglaire à boite (ancêtre du canon à culasse)... en procédant à des mises à feu de poudre noire pour déclencher des détonations assourdissantes. Suivait le premier numéro des Aigles du Léman, grande nouveauté cette année, avec Jacques-Olivier Travers, propriétaire d'un parc à Sciez, en Haute-Savoie, et ses rapaces nés en captivité. Aigle, faucon, buse, pyrargue à tête blanche et hibou, ont été présentés en plusieurs vols de démonstration assortis de commentaires très instructifs. Pendant les pauses, le public déambulait devant les échoppes et les tentes médiévales et découvrait plusieurs nouveautés. Malgré l'averse et la bourrasque qui ont vidé la fête médiévale en fin d'après-midi, une bonne

centaine de spectateurs étaient présent, le samedi soir, autour du carré d'honneur où était présenté le spectacle de chevaux et de feux : « la tribu d'Urga ». Celle-ci mettaient en scène une trentaine d'acteurs : cavaliers et figurants des Ecuries de Lorien.

Quand les écuries locales font le spectacle

 Il s’agissait là, après une dernière répétition donnée lors de la fête médiévale de Trévoux, d’une grande première pour cette troupe domiciliée au hameau de Pérignat, à Saint-Etienne-sur-Reyssouze. Autour des résidents du lieu : Esclarmonde et Faro, son superbe destrier que l'on a déjà vu à maintes reprises sur la fête médiévale de l'AJC, et ses parents, on trouve une trentaine de « médiévalistes » venus de différentes villes et villages de la grande région. Ils ont créé ce superbe spectacle sorti de l'imaginaire d'une collectif réuni pour l'écriture autour de Serge Grosbon, dit Griffon rouge, ancien professeur d'éducation physique et équestre dans le Lyonnais. En plusieurs tableaux, ce spectacle d'un peu plus d'une demi-heure sur fond de cracheurs de feu, de torches et braseros, contait l'histoire d'une prêtresse maléfique et d'une bande de méchants qui entrent en lutte contre le bien représenté par des danseuses et cavaliers. Au bout du compte, le bien triomphera du mal, et tout finira bien. Les spectateurs ont visiblement beaucoup apprécié ce spectacle insolite en répondant par des applaudissements nourris au moment du final. Et pour rester dans l'imaginaire, quelques instants plus tard les contes du Moyen-Âge de la conteuse de « L'échoppe et la lance » retenaient encore une bonne cinquantaine d’auditeurs. Cette dernière séquence mettait un terme à une première journée suivie par près de 700 visiteurs.

Le dimanche rassemblait les mêmes acteurs sous un beau soleil. Un public encore plus nombreux se pressait dans l’enceinte du village médiéval. Cette forte affluence fera grimper les statistiques à plus de deux mille entrées.

Les organisateurs affichaient alors leur satisfaction au moment de démonter les installations, le lundi matin.

« Dommage qu'on ait eu la pluie samedi soir car on aurait sans doute atteint notre objectif initial, soit 2 500 entrées. Quant aux troupes présentes toutes étaient ravies et nous ont dit qu'elles reviendraient avec plaisir l'an prochain » se félicitait Anthony Joubert-Laurencin, l'un des piliers de cette fête avec Sébastien Douard et David Castaing, ses deux éternels complices, et Marie-Claude Juillet, présidente de l'AJLC. A souligner qu’Ils sont entourés d'une petite équipe d'une vingtaine de bénévoles dévoués.

Cliquer sur caque photo pour l'agrnndir.  

Ce fauconnier, ancien journaliste du Progrès et pendant un temps chef de l'agence d'Ambérieu-en-Bugey, est connu dans le                      

Crise oblige, cette année la grille de départ du 27e Mondial du quad a été bouclée tardivement par les organisateurs de PDV Racing. Mais il y avait tout de même 90 équipages représentant une bonne dizaine de nations prêt à prendre le départ samedi à 15 heures. Par ailleurs 65 quads étaient en lice dans le PDV Quad Contest qui tremplin pour les amateurs vers la grande course de 12 heures. Comme toujours depuis 1993, il fallait s’attendre à voir les pilotes du vieux continent batailler ferme avec les pilotes made in USA, notamment l'équipage anglo-américain formé de Paul Homes (GB), Adam McGill et Joël Etrik (USA) lesquels ont débarqué sur le circuit du Val de Saône avec un prototype Wals hybride CRF Honda 450 dont ils ont gardé le secret avec l’espoir de mettre fin à quelques années de disette pour les yankees.

Côté européen, les lauréats 2012, Yoann Ciclet, Yann Magnin et Florent Ramel, remettant leur titre en jeu, espéraient bien renouveler la recette qui avait si bien fonctionné pour eux. « On a racheté la même machine que l’an passé avant l’arrêt de la production par Suzuki, dévoilait-ils. On y apposera les mêmes réglages ». Ce joujou, estimé à 25 000 euros une fois préparé, avait littéralement surfé sur la boue pontévalloise lors de la 26e édition. Un autre tricolore, Romain Couprie, artiste de la glisse sur ces terres, reparti trois fois avec le titre de vainqueur, comptait bien, avec un Yamaha 450 YFZ R tirer son épingle du jeu avec ses équipiers Julien Marin et Yoann Gillouin, victorieux en 2009.

Enfin, dernier équipage national de marque à devoir être mis en lumière, celui du trio Ternynck, Cheurlin et Jay, qui avait vu leur machine les trahir à dix minutes de l’arrivée en août 2012, alors qu’ils étaient en tête.

Autre armada à se présenter avec quelques munitions, celle des représentants de la couronne britannique. Les deux teams majeurs du Royaume ont déplacé pas moins de trois quads chacun sur la prairie. Au sein de l’une des triplettes du team Rocketman, on retrouvait Carl Bunce, troisième en 2011, sur un Suzuki 450 LTR.

A quelque heures du grand final on sait ce qu'il est advenu des espoirs des uns et des autres...

Les prochains compte-rendus évoqueront ces péritpéties.

On attendait également les cascadeurs du team HbombSquad, sans lesquels le Mondial de Pont-de-Vaux n'aurait pas du tout la même saveur. Le trio US est revenu pour la quatrième année sur le circuit de la prairie, sans Caleb Moore qui a trouvé la mort l'hiver dernier aux Xgames d'Aspen, dans le Colorado, dans un ultime back flip (saut périlleux arrière) en snowbike (motoneige). Un hommage lui a été rendu ce week-end par les organisateurs qui lui ont dédié cette 27e édition. Ce team est animé par le cadet du disparu : Colten Moore, accompagné du français Guillaume Faurie et du costaricien Marco Picado, tous spécialistes en acrobaties les plus folles sur motoneige et quad.

Au nombre des équipages qui ont participé au 27ème Mondial du quad, il se comptait deux quads Honda 450 TRX ayant pour point commun de courir sous les couleurs de la concession d'Amiens, dans la Somme. Son boss, Eddy Delestrez a confier « Je p^rends très rarement des vacances, mais je viens quand même depuis dix ans et pendant quinze jours avec ma famille au camping de Pont-de-Vaux avec l'objectif de participer au Mondial du quad ». Une manière comme une autre de joindre l'utile à l'agréable…

Parmi les deux équipages figurait le dernier rescapé des quatre pilotes de la famille Bouvard : Thomas, Guillaume, Clément, les trois frères avec Nicolas, leur cousin. Ils ont appartenu par à la cohorte d'une quinzaine de pilotes du canton qui, par le passé, participaient à la course pontévalloise. Il s'agit de Guillaume qui totalise cette année dix participations à son compteur.

(les autres Bouvard ont raccroché au fil du temps).

Au guidon de la première machine, le jeune pilote Sainbénignois était associé à l'Allemand David Hohmann et Christphe Lefèvre qui est d'Arras. Le second quad avait pour pilotes Maverick Delahaye d'Arras, Alexis Robin de Chalon-sur-Saône et Nicolas Vaison du Creusot. Deux de ces pilotes : Mavrerick Delahaye et Nicolas Vaison constituent la relève du Mondial. Ils sont âgés de 15 ans seulement.

« Il est important de leur donner une chance et de leur transmettre notre savoir-faire. J’ai rencontré Nicolas en championnat de France de quad cross. Il court avec mon fils Dylan qui malheureusement s’est cassé la clavicule il y a deux mois à Blargies. Je ne veux pas prendre le risque de le faire courir ici » s’est justifié Eddy Delestrez ». Pour ce dernier, qui ne pilote plus en compétition depuis deux ans mais compte revenir en course l'an prochain, la stratégie adoptée était basée sur la prudence avec des relais de 40 minutes. « Je ne veux qu’une chose, les retrouver tous à l’arrivée, fatigués certes, mais entiers ». Le « boss » visait une place dans les vingt premiers du classement pour ses deux équipages.

Record largement battu pour cette douzième et dernière émission nomade de « TV en campagne, votre village sur un plateau ». Celle-ci passait mercredi soir par la cour de l'Arquebuse où elle a attiré quelque six cents spectateurs. Alors que le maximum atteint jusque dépassait à peine les trois cents spectateurs, cette tournée entre Bresse de Saône-et-Loire, de l'Ain et du Jura se sera terminée en apothéose dans cette bonne ville de Pont-de-Vaux..

Favorisée par le temps clément d'un été finissant, cette soirée en plein air présentait des personnages locaux entre autres et en première ligne, le maire Jean-Claude Thierry, ceint de son écharpe, Gilles Debost, président de l'Office de tourisme, Nelly Catherin, directrice du musée et Guy Sautarel, l'inventeur du jeu « Le bourru ».

Tandis que les chauffeurs de plateau passaient sur un fond vert d'effets spéciaux, des vues nocturnes de la cité pour donner l'impression d’une transmission en direct depuis les différents points de la ville. Interprétant des personnages « croquignolesques » et notamment un journaliste parisien de télévision débarquant à la campagne avec ses idées préconçues.

Belle soirée donc qui a ravi le public et les organisateurs. En premier lieu : Denis Lamard, le pilier de cette affaire comme président des Brasseurs d'R de Louhans, et les autres partenaires, dont SLC Théâtre de l'Ouvroir à Pont-de-Vaux. « C'est plutôt une bonne réussite. La dernière semaine on est vraiment montés en flèche. Ce soir nous avons six cents personnes, on atteint les trois mille spectateurs sur l'ensemble de la tournée, et on a eu deux cents internautes chaque soir en direct sur le Net pendant douze jours. On a bon espoir que ce concept soit repris dans d'autres régions car ce qu'on a fait sur la Bresse peut-être repris dans toutes les provinces de France » confiait ce dernier au terme de cette soirée.

Les Tchoukeurs Pontévallois vont reprendre leurs activités dès cette semaine de septembre. Et ils ont du pain sur la planche puisque, outre la mise en place des entrainements des jeunes sections, le staff de SLC et son président Laurent Bellenguez vont devoir s’attacher à l’organisation du second tournoi international de la ville. Cette manifestation, prévue le dernier week-end de septembre, marquera l’ouverture officielle du premier championnat de France de Tchoukball et sera couronnée d’une rencontre internationale entre la France et l’Allemagne prévue le 28 septembre en soirée.

Il n’y a donc pas de temps à perdre pour les pontévallois, en particulier les membres de l’équipe de France, qui reprendront les entrainements officiels ce mercredi 4 septembre à 18 heures, au gymnase de la Verchère.

ce mercredi le samedi 7 septembre à 9 h 30 pour section moins de 12 ans et moins de 15 ans.

Par ailleurs les équipes de jeunes seront de nouveau invitées à participer aux rencontres habituelles (Genève, Lyon, etc). Les dirigeants Pontévallois envisagent pour cette année l’organisation d’un grand tournoi « jeunes » à Pont de Vaux, autour du mois de mars 2014.

 Les informations et les documents pour s’inscrire à cette nouvelle saison sont disponibles sur le site du club (http://tchoukball.pontdevaux.fr).

Les 3 premiers entraînements de découverte sont offerts mais les places seront de nouveau limitées à 25 joueurs par catégorie.

Pour tout renseignement, contactez le club par email à : tchoukball@ouvaton.org

Le public est venu relativement tard à la présentation des équipages vendredi en fin d'après-midi. Mais il était en grand nombre, sans doute près de quatre mille spectateurs,

dans la rue de Lattre, vers 22 heures, pour assister au départ de la grande parade des quads à travers la ville.

A ce coup d'envoi de la 27e édition du Mondial du quad, Pont-de-Vaux redevenait la capitale mondiale du quad l'espace d'un week-end. Un titre qui n'est pas usurpé selon la grande majorité des pilotes internationaux qui chaque année se présentent au départ.  

Les 90 équipages au départ du Mondial et les 65 équipages du PDV Quad Contest, tremplin pour les jeunes pilotes

désireux d’aller jouer dans la cour des grands, allaient, pendant deux jours, animer le circuit de la prairie.

Ce circuit que tous ont rejoint en bon ordre, vendredi soir vers 22 h 30, phares allumés dans un grand nuage de fumées et en de rageuses pétarades.  

 En début d'après-midi vers 14 heures, le public arrivait en nombre sur le circuit pour assister à la première manche de trois heures. Elle est partie ponctuellement à 15 heures avec 84 quads. Cette manche allait connaître plusieurs rebondissements à la tête de la course annonçant un Mondial très animé, jusqu'à dimanche après-midi. L'équipage anglo-américain, favori, a rapidement cédé la tête de la course en raison de d'un mauvais départ ajouté à quelques problèmes mécaniques qui laissait le champ libre aux équipages français. Après 5 heures de courses en nocturne, moment privilégié pour les pilotes du Mondial du quad qui lâchent les chevaux en toute quiétude dans la fraicheur de la nuit, ce sont les 2 Yamaha officiels Couprie, Marin, Guilllouin pour le premier équipage, et Cheurlin Ternynck, Jay pour le second, ainsi que la concession d'Annecy, équipée du Suzuki LTF piloté par Cliclet, Magnin et Ramel, les vainqueurs de l'an dernier, qui ont le mieux tiré leur épingle du jeu.

Pour la troisième et dernière manche de quatre heures le dimanche après-midi, 74 équipages restaient en course sur 88 engagés.          

En raison d'un accident survenu sur le PDV Quad Contest qui avait interrompu la course pendant près d'une heure pour évacuer le blessé, c'est avec une demi-heure de retard sur l'horaire prévu, à 13 h 30 que se sont élancés les quads de cette 3e et dernière manche de 4 heures qui allait mettre un terme au 27e Mondial du quad.          

Jamais deux cent trois, l'équipage anglo-américain Holmes, Hetrick et McGill, ratait à nouveau son départ, le moteur Honda surcompressé refusant de partir malgré de nombreuses tentative du pilote. Finalement un dernier Kick rageur emballait le moteur récalcitrant. De fait le quad se trouvait relégué au fond du classement, et quelques problèmes de freins plus tard, c'était l'abandon. Les carottes étaient cette fois définitivement cuites, et pour le God save the Queens ou le Stars and strippes, le podium final, ce serait pour une autrefois.

Dès le départ de la 3e manche, l'équipage Annecien Cliclet, Magnin, Ramel, a rapidement fait parler ses chevaux pour caracoler en tête devant les deux quads officiels Yamaha. Une nouvelle fois, cette manche s'annonçait haletante. A la suite d'un arrêt au stand du Suzuki Haut-Savoyard, c'est Cheurlin, qui s'installait en tête, tandis que Couprie commençait à connaître des problèmes d'amortisseurs qui allaient le retenir plus de dix minutes au stand. Bilan : 20 places de perdues. Dès lors, à une heure de la fin de la course, tout allait se jouer entre Ciclet et Cheurlin, le premier faisant la différence sur le second grâce à une stratégie différente. « L'an dernier, j'avais émis l'idée d'effectuer des relais plus longs, de 2 heures au lieu de 1 h 40, soit cinq passages au stand pour nous contre six à nos adversaires. Nous nous sommes entraînés et nous avons cette fois appliqué cette stratégie» confiait le Haut-Savoyard d'Annecy à l'arrivée. Cette stratégie s'est avérée payante.

Yoann Ciclet, Yann Magnin et Florent Ramel, deux Haut-Savoyard et un Jurassien, du team Comas Moto d'Annecy, ont une nouvelle fois passée la ligne d'arrivée en vainqueurs, signant ainsi leur deuxième victoire consécutive dans e Mondial. Ces trois copains se disent déjà prêts pour réaliser la passe de trois en 2014, grâce à Suzuki qui les soutient aussi pendant la saison de motocross. Un peu dépité par une troisième place de podium, Romain Couprie, double vainqueur du Mondial au guidon d'un Yamaha officiel confiait : « La cadence était élevée. Nous avons donné le maximum, mais avons eu un petit problème, c'est la course. Malgré tout nous faisons un podium ».          

Les feux de la rampe se sont éteints dimanche soir sur le circuit au terme de la traditionnelle remise des prix, présentée par les trois commentateurs du week-end : René Geret, Yves Crouzet et Pierre Gauthier.

Elle a eu lieu en présence des partenaires du 27e Mondial du quad : Jean-Claude Thierry, maire de la ville, accompagné de Philippe Coillard, premier adjoint, Jean-Paul Rodet, vice-président du Conseil général de l'Ain chargé des sports et de la culture, Gilles Debost, président de l'OTSI, Jean-Jacques Guillemoz et Michel Marielle, président et vice-président de l'Union motocycliste de l'Ain qui avait assuré la direction de course.

Tous se sont bien évidemment félicités d'un podium uniquement composé d'équipages français et de l'excellente organisation de PDV Racing, en soulignant notamment le professionnalisme de l'équipe bénévole chapeautée par Bernard, Maurice et Rodolphe Maingret. Seule ombre au tableau le blessé du PDV Quad Contest, héliporté en milieu de matinée de dimanche vers un hôpital lyonnais, mais les dernières nouvelles étaient rassurantes, le processus vital n'était pas engagé. Information confirmée lundi matin dans un communiqué médical précisant que ce jeune pilote de 15 ans souffrait de traumatismes divers (tête et cage thoracique), et d'une vertèbre fracturée (la 7e).

Sous toute réserve le communiqué concluait qu'après « plusieurs jours d'hospitalisation les choses devraient bien se passer ».

Classement au cumul des trois manches :

1. Ciclet, Magnin, Ramel (F) sur Suzuki LTR 450 (219 tours) 12h06'48s ;

 2. Cheurlin, Ternynck, Jay (F) sur Yamaha YFZR 450 (219 tours) à 58s ; 3. Couprie, Marin, Guillouin (F) sur Yamaha YFZR 450 (219 tours) ; 4.

Mathieu, Fromont, Beroudiaux sur Yamaha YFZR 450 216 tours ; 5. Thiry, Renzon, Meertens (B) sur Yamaha YFZR 450 214 tours ; 6. Vidal, Santos, Ullastres (E) sur Yamaha YFZR (214 tours) ; 7. Bunce, Reid, Callaway

(GB) sur Suzuki LTR (212 tours) ; 8. Lallemand, Lefrançois, Lardellier sur Yamaha R (212 tours) 9. Winrow, Macbeth, Murphy sur Honda TRX (210 tours) ; 10. Gobert, Serra, Vila (E) 209 tours...