A partir d'un déclenchement par borne interactive située sur l'aire de jeu, le système fonctionne pour quatre minutes, le tout est commandé par informatique grâce à un logiciel qui déclenche d'une manière aléatoire chaque système d'aspersion en une infinité de combinaisons. Les essais ont été concluants. Sébastien Vaire, le nouveau directeur de la piscine et du camping, s'est félicité de ce nouvel équipement.

Pas de surveillance particulière

 « Il fonctionne sans surveillance de maître nageur car il n'y a que des eaux de ruissellement. Pour les enfants, tout se passe en présence des parents installés à quelques mètres à l'extérieur de l'enceinte sur la pelouse ». Pour les coûts de fonctionnement, le responsable de Pro Urba précisait que ce "splashpad" consomme peu d'eau et d'énergie : « Les pompes consomment très peu d'électricité et l'eau circule en circuit fermé. En période de forte chaleur comme aujourd'hui, il n'y a que 7 à 8 mètres cubes qui se dispersent par évaporation, sur les 60 mètres cubes de l'installation (30° de température ambiante ce jour là). Le technicien a également précisé que ces jeux d'eaux devraient améliorer la fréquentation de la piscine : « Nous avons

Comme chaque année à la fin du mois de juillet au Pôle petite enfance de Pont-de-Vaux, les parents des enfants accueillis chez les Moussaillons, étaient invités à un après-midi d'échanges avec le personnel de l'établissement. Pour les parents qui ne connaissaient pas les lieux, cette rencontre était l'occasion de découvrir les équipements dont dispose cette structure. D’une capacité de 30 places elle accueille des enfants de 10 semaines à 4 ans. Géré par la communauté de communes, l’établissement emploie actuellement dix salariés : une directrice, cinq auxiliaires de puériculture, une éducatrice jeunes enfants, deux agents d'entretien et une cuisinière, qui correspondent à 8,5 emplois temps plein.

« Pour les parents, une crèche est un peu un sanctuaire. Cet après-midi a pour but de les familiariser avec nos services en leur montrant les dortoirs, la salle de change... les ateliers que nous proposons aux enfants.

Mais il sert aussi à dire au revoir à ceux qui nous quittent pour aller en maternelle. Nous fermons pour un mois le mercredi 31 juillet et nous rouvrirons le mercredi 26 août » confiait la directrice Lydia Vilarinho,.

En deux ans, le pôle petite enfance a atteint sa pleine capacité d'accueil en passant de 24 à 30 places. Pour l'heure, il s'avère suffisant sachant que, dans le canton, près d’une centaine d’assistantes maternelles accueillent elles aussi des enfants en bas âge. Depuis l'an dernier elles bénéficient d'un RAM (relais assistante maternelle) au pôle petite-enfance. Celui-ci est animé par Séverine Comtet qui apporte un soutien et un accompagnement à ces « nounous » dans leur pratique quotidienne et leur donne la possibilité de se rencontrer et d’échanger sur leurs expériences.

Marief Brogard fait partie de ces artistes qui exposent en toute modestie au 51e salon des arts pontévallois. « Je suis autodidacte » prévient-elle en présentant deux acryliques : « village » et « Il a neigé », et « Vers Chalons » et une aquarelle, qui sont de belle facture.

Rien ne prédestinait Marief Brogard a devenir artiste. Née à Poitiers, elle a suivi ses parents à Toulon où elle a fréquenté l'école d'infirmière. Elle est devenue infirmière-puéricultrice à Lyon où elle a terminé cadre supérieur en établissement hospitalier. « Quand nous avons pris notre retraite avec mon mari, nous cherchions un toile de tente améliorée mais nous n'avons pas souhaité descendre vers le midi. Nous avons trouvé une maison dans la région à Saint-Jean-sur-Reyssouze. Une ferme ancienne à restaurer car mon mari est jardinier et bricoleur » explique-t-elle. Lui aussi est peintre amateur.

Comment en est-elle arrivée à la peinture ? « Il y a longtemps que je voulais faire de la peinture sur bois. Dans un premier temps, j'ai peint des meubles, puis je me suis dirigée vers l'aquarelle que j'appréciais pour sa fluidité, le mélange des pigments avec l'eau. C'est une technique qui ne tolère aucune maladresse, quand le pinceau est passé on ne peut pas revenir dessus. De temps en temps, je faisais de la peinture à l'huile et de l'acrylique, pour avoir d'autres textures. Pour me perfectionner,

j'ai pris des cours de dessin au Loisirs club d'Ozan avec Pierre Feyeux et d'aquarelle avec Christiane Bonicel. Ils m'ont beaucoup fait progresser ». Du coup, Marief Brognard, s'est retrouvée à la présidence du Loisir club d'Ozan. « j'ai beaucoup aimé l'ambiance des ateliers d'arts plastiques animés par cette association. Il s'est trouvé qu'à la suite de Pierre Feyeux, personne voulait être président. Pour éviter que cette société soit dissoute, j'ai accepté pour deux ans car je n'avais pas de projet à long terme. J'y suis depuis trois ans ».

51e salon des arts pontévallois. Salle es fêtes à Pont-de-Vaux. Ouvert jusqu'au 18 août, les mardi, mercredi vendredi, samedi et dimanche de 15 heures à 19 heures, en matinée le mercredi et dimanche de 10 heures à 12 heures (fermé le lundi et le jeudi).

A la suite de leur courrier commun en date du 11 juin demandant aux deux présidents de conseil généraux de l'Ain (Rachel Mazuir) et de Saône-et-Loire (Rémi Chaintron) la tenue d'une réunion en vue de résoudre les problèmes posés par l'interdiction de passage de véhicules de plus de 12 tonnes sur le pont de Fleurville par arrêté du 22 avril 2013, les deux présidents d'intercommunalités signataires : Patricia Clément pour la communauté de communes Mâconnais Val de Saône, et Henri Guillermin pour la communauté de communes de Pont-de-Vaux ont reçu en réponse le 19 juillet, une lettre signée de Rachel Mazuir, président du Conseil général de l'Ain.

"Une gène sur l'économie locale"

Ce dernier se dit « conscient de la gène que peut engendrer cette réglementation sur l'économie locale. Toutefois, le mauvais état de l'ouvrage et la nécessité de préserver la sécurité des usagers m'obligent pour l'instant à maintenir cette mesure ».

Le président Henri Guillermin demandait que cet arrêté passe à 19 tonnes. Dans ce courrier, M. Mazuir explique que « parallèlement, des investigations sont en cours pour préciser l'état de l'ouvrage et son avenir (réhabilitation ou reconstruction) : le bureau d'études Quadric a été missionné pour préciser la résistance résiduelle de l'ouvrage et le cabinet Axis Conseils suit l'évolution de la flèche des travées, cette donnée constituant une bonne représentation du risque d'effondrement de la structure.

En outre, ce cabinet termine actuellement un lever topographique et bathymétrique de la zone, un marché d'études est en cours de signature avec la société Hydrogéotechnique Est et Centre, pour investiguer les piles et déterminer leurs capacités portantes. Enfin, une consultation pour réaliser les études préliminaires de réhabilitation ou reconstruction de l'ouvrage sera lancée très prochainement ».

Le président du Conseil général de l'Ain termine en assurant que « dès que les premiers résultats de ces investigations seront connues, j'organiserai une réunion avec vos collectivités pour engager la concertation sur les mesures envisagées à court et long terme ».

Des nouvelles mais pas grand chose de changé donc.

 A suivre.

Le canton de Pont-de-Vaux bénéficie de quatre zone naturelles protégées par le CEN (conservatoire d'espaces naturels) de Rhône-Alpes : la grande prairie qui s'étend sur une dizaine de kilomètres le long de la Saône entre l'embouchure du canal de Pont-de-Vaux, au sud, et l'embouchure de la Seille à Sermoyer, au nord, l'île de la Motte au droit de la commune de Saint-Bénigne, la tourbière des oignons à Boz (avec la drosera : plante carnivore) et les 35 ha de dunes du site des charmes à Sermoyer. Ces quatre sites classés Natura 2000 par l'arrêté du 17 octobre 2008, peuvent être visités en se rendant directement sur le terrain où des panneaux présentent la faune et la flore des lieux Ou virtuellement, à l'espace interactif de la Maison de l'eau et de la nature à Pont-de-Vaux grâce à des aide de bornes interactives, écrans tactiles et une salle vidéo en 3D. Durant l’été, la Maison de l'eau et de la nature propose des visites guidées et commentées par avec Marc Borel de l'association Cardamine. Plusieurs visite se sont déjà déroulées en randonnée pédestre ou en canoë en direction de l'île aux oiseaux.

A pieds et à canoé

 Lors de l'une de ces sorties, en marchant côté cour vers cette île, le guide a fait découvrir, sentir et toucher les plantes bordant le chemin : la guimauve aux feuilles de velours, la saponaire qui peut être utilisée comme savon, la chicorée bleue qui se ferme à midi… Il a fait écouter le chant de la fauvette et, en conteur malicieux, a régalé le groupe d'une quinzaine de personnes de 12 à 70 ans, d’anecdotes captivantes sur la vie des petites bêtes de la prairie. A l'aide de longues-vues fournies par la Maison de l’Eau et de la Nature de Pont-de-Vaux, petits et grands ont saisi le vol d’une cigogne, le passage de vanneaux huppés, la pose altière d’un faucon perché sur un poteau et appris à différencier un faucon d’un milan noir.

En traversant la prairie, Marc Borrel a évoqué la forêt inondable qui la recouvrait autrefois, et dont seul subsiste le bois de Mayence, situé à quelques centaines de mètres, au nord, à Sermoyer. Côté jardin, quelques jours plus tard on retrouvait quasiment le même groupe à Farges-lès-Mâcon, en rive droite de la Saône, point de départ d'une visite en canoë de l'île de la Motte. Au terme d'une navigation de quelques centaines de mètres, Marc Borrel a présenté des oiseaux qui se laissent admirer et photographier comme un groupe d’aigrettes blanches ou garzettes. Il a aussi présenté les mesures de protection du site prises par le CEN Rhône-Alpes pour protéger cet écosystème si fragile et précieux. Le guide a parlé de la lutte menée contre les espèces exogènes invasives qui étouffent la végétation locale et des travaux de dragage d'alluvions de cet hiver, sans quoi cette île allait se transformer en presqu’île, avec tous les dérangements humains que cela représente. Tous ont apprécié l’impact positif des mesures de préservation du milieu qui permet de maintenir la biodiversité et d'augmenter progressivement les couples nicheurs d’oiseaux rares, en particulier les cigognes qui sont de retour dans le secteur depuis trois ans. Ces sorties guidées et commentées de trois heures avec Marc Borrel connaissent un grand succès. Au point que des sorties supplémentaires sont programmées au mois d'août (voir encadré).

Les prochaines sorties :

Vendredi 2 août : De 8 h 30 à 11 h 30 : Excursion en canoë sur la Saône. Mardi 13 août : De 9 heures à 12 heures et de 15 heures à 18 heures : Excursion en canoë (inédite) sur la Reyssouze. Samedi 17 août : De 15 heures à 18 heures : Lande de sable et zone humide à Sermoyer. Modalités pratiques : tout public. Tarifs : 8 euros (adultes), 3 euros (enfants jusqu’à 12 ans), 5 euros (ados de 13 à 16 ans). Pack famille : 20 euros pour 4 personnes. Renseignements et inscriptions à la Maison de l’Eau et de la Nature de Pont-de-Vaux, place de Dornhan (port de plaisance) au 03.85.33.03.34. ; courriel : maison.nature@fr.oleane.com

Charline Bathias a participé, pour la première fois, aux Championnats de France de Lamotte-Beuvron, dans le Loir et Cher. Cette jeune fille de 17 ans, dont la famille est très connue dans la région pontévalloise, est étudiante en première STMG (science technique management gestion) au lycée Ozanam à Mâcon.

Elle était l'une des rares représentantes de l'Ain participant à cette épreuve nationale. Montant « Monitor » un poney Français de selle de 13 ans (1 m 44 au garot), dont elle est propriétaire depuis décembre dernier, Charline était en lice dans la catégorie « club 2 junior 1 premium ». Elle s'est classée 45e sur 88 concurrentes. Pas mal pour une première.          

Cette réunion annuelle dans l’un des plus grand centres européens dédié aux disciplines équestres, rassemble, bon an mal an, plus de 3000 cavaliers, qualifiés dans tout l’hexagone au travers de leurs disciplines. Toutes les disciplines équestres y sont pratiquées.

Au cours des journées passées dans le Loir-et-Cher, Charline était accompagnée de ses deux papys : Joannès Bathias et Robert Grondier, qui lui ont apporté une aide précieuse pour l'intendance et la logistique. Cette jeune cavalière a débuté au relais des Chouettes à Arbigny, à l'âge de 11 ans. elle s’st ensuite entrainée eu centre équestre de Chamerande « Ls Cavaliers de Pré Fleuri »,          

  Le stage a commencé le mercredi 31 juillet et se tiendra jusqu'au samedi 10 août à la Maison Familiale et Rurale de Pont de Veyle. L’association Jazz en Herbe est bien entendu toujours très intimement liée à sa ville d’origine, Pont de Vaux, mais a dû s’expatrier à la MFR de Pont de Veyle l’année passée pour des raisons d’hébergement. MFR que l'association tient à remercier pour ses services et son accueil chaleureux et professionnel. Cette année, le stage est  rempli à son maximum. L'équipe accueille 50 stagiaires. Jazz en Herbe se réjouit de ce remplissage, signe d’une communication efficace et de la qualité de ses stages renouvelés au cours de ses 27 années d’existence.

Un travail musical en 4 thèmes

L’équipe est composée d’un directeur, de 5 animateurs et de 3 professeurs de musique. Le directeur de ce stage est Stéphane Maitrot. Il a grandi au sein de l'association. Il y fut successivement et depuis 1999, stagiaire, animateur puis professeur de musique et directeur. Les professeurs de musique, qui donnent des cours en répartissant les stagiaires en 3 ensembles homogènes sont Jean- Michel Dubois (guitare), Robin Limoge (clarinette) et Romain Maitrot (trompette) Ils sont tous trois intervenants musicaux en milieu scolaire et/ou musiciens professionnels.
Le travail musical est réparti en 4 thèmes. Le ternaire, le binaire, l’improvisation et la musique de rue.

 Les 3 premiers thèmes de travail sont effectués en groupes, le but étant de monter des morceaux pour le concert de fin de stage et de découvrir la musique d’ensemble.        Le 4ème thème, la musique de rue, est travaillé en ensemble réunissant les 50 stagiaires. Les stagiaires sont encadrés en dehors des cours par 5 animateurs qui leur proposent des activités diverses et variées afin de décompresser et de donner à ce stage de musique l’ambiance de partage qui fait sa singularité. Comme chaque année, l’association propose aux habitants de la région, aux stagiaires et à leurs familles, 3 concerts gratuits et en accès libre, 3 parades sur les marchés,effectuées par les stagiaires et un concert de fin de stage.

Des concerts gratuits

Les concerts offerts par l’association : Kansas city 7.1, le samedi 3 août à Pont de Vaux (salle des fêtes) à 20h30. Le groupe tiendra une master classe dans la journée auprès des stagiaires. Jazz trio, le lundi 5 août à Pont de Veyle (MFR) à 20h30. Le Buloo, orchestre permanent de Jazz en Herbe, le mardi 6 août à Pont de Veyle (MFR) à 20h30.

Les parades sur les marchés de la région : Lundi 5 août à Pont de Veyle ( 11 h ). Mercredi 7 août à Pont de Vaux ( 11 h ) Samedi 10 août à Tournus ( 11 h ).

Le concert de fin de stage se déroulera le samedi 10 août à la salle des fêtes de Pont de Vaux à 20h30. Entrée libre et gratuite.

Mardi matin, à 10 h 30, un nouveau pilote a pris la barre du « Ville de Pont-de-Vaux 2 ». Cette prise de fonction s'est faite dans de bonne conditions lors d'une croisière-repas sur la Saône qui avait pour but l'écluse de Gigny, près de Sennecey-le-Grand, avec passages, aller et retour, de l'écluse grand gabarit qui se trouve à Ormes, et au retour une visite à de la ville de Tournus.

Ce nouveau pilote vient d'Île-de-France. Il s'agit de Rémy Leclercq. Âgé de 60 ans, marié, sans enfant, il réside à Montigny-le-Guesdier, en Seine-et-Marne, mais séjourne pour toute la durée de son contrat à bord d'un camping car installé au camping Champ d'été.

Né sur une péniche en bois à Estrum, dans le Nord, de parents bateliers, après 25 ans de navigation sur une péniche de commerce, M. Leclercq est devenu gardien d'immeuble. Depuis lors, il assure des remplacements comme sur le « Ville de Pont-de-Vaux 2 », le précédent pilote étant parti plus tôt que prévu, laissant dans l'expectative l'équipe du président Gilles Debost. 

Pendant une semaine, l'intérim avait été assuré par Roger Collins, capitaine (Angalis) du bateau « Le Dela » qui est basé à Chalon-sur-Saône

Au cours de cette croisière, les passagers ont apprécié la qualité du pilotage de Rémy Leclercq, qui a mené le groupe à bon port sans aucun problème de navigation, et en montrant qu'il avait bien en main les 80 tonnes du bateau avec des passages d'écluses et des appontements d'une précision d'orfèvre. Ce dernier nous a confié que sa fonction lui convient et qu'il devrait rester jusqu'au terme de la saison.

En attendant les deux prochains marchés des 7 et 14 août qui devraient connaître une plus forte affluence encore, le marché de mercredi dernier a connu la foule estivale des grands jours. Des files interrompues de visiteurs se sont succédées tout au long de la matinée dans la rue de Lattre et sur la Promenade où étaient rassemblés plus de deux cents commerçants forains. Ce marché avait des airs de foire-braderie évoquant le grand rassemblement d'octobre lors de la Saint-François, mais avec le soleil en plus. S’y ajoutaient les éternels passages difficiles où se forment des bouchons à cause des poussettes et autres badauds qui discutent sans vergogne au milieu de la rue.

Au total on estime à près de cinq mille visiteurs ce déferlement sur la cité pontévalloise. Cela s’est fait en plusieurs vagues jusqu’à la fin de la matinée. Certains de ces visiteurs étaient même venus par les voies navigables à en juger par le nombre de bateaux amarrés aux pontons du port de plaisance. Les équipages profitant de l'occasion pour faire le plein en provisions avant de reprendre leur navigation sur la Saône.          

Salle des fêtes, à l'entrée, ou à la sortie de la rue de Lattre, c'est selon, le 51e salon des arts pontévallois ouvrait lui aussi largement ses portes au public. Les bénévoles de l'association avaient le sourire. 18 œuvres avaient en effet été déjà vendues en une semaine et 850 entrées avaient été comptabilisées.          

Le long du marché, les tiroirs-caisses tintaient de belle manière, comme ceux des cafés dont les terrasses étaient largement occupées. Comme d'habitude pour les marchés d'été, nombre de camelots et autres bonimenteurs dans leur transhumance vers le sud, avaient fait escale à Pont-de-Vaux et des attroupements se formaient devant leurs bancs, On faisait la queue au milieu des senteurs de poulets grillés, de charcuteries, de fromages et de fruits... Les commerçants en produits alimentaires se frottaient quant à eux les mains dans la perspective de bonnes recettes grâce à l'affluence des vacanciers venus des campings environnants.

Les stages de judo étaient animés pendant deux jours (vendredi et samedi) au dojo des Nîvres par Barbara Harel, ceinture noire 5e dan et l'une des rares judokates françaises à avoir pazrticipé à 3 olympiedes successives : Sydney, Athènes et Pékin. Deux fois championne d'Eorope, championne du monde par équipe, victorieuse  du tournoi de Hambourg, deux fois victorieuse du tournoi de Moscou, titulaire  titres nationaux, et de nombreux podiums en épreuves internationales... Voilà par quelles exceptionnelles compétences ont été dirigées ces journées de stage. qui se sont terminées samedi soir sur un bilan satisfaisant pour l'ensemble des acteurs. Cela malgré les durs moments physiques éprouvés par des stagiaires confrontés à des séances d'entraînement de haut-niveau. 

Agée de 37 ans, Barbara Harel a débuté le judo dans une petite ville de la banlieue Nantaise : Les Sorinières, où un club venait de se créer. « Je faisais de la danse. C'est ma grande sœur qui m'a amenée au judo en rapportant chaque week-end des coupes et des médailles à la maison. C'est ce qui m'a convaincue de me lancer dans cette discipline » explique-t-elle. Après les premières années d'apprentissage au sein de son petit club d'origine, elle a été admise en sport étude à Nantes (seconde, première et terminale) où elle est devenue espoir. Sacrée d'emblée championne d'Europe espoir, elle est ensuite passée chez les séniors et par l'INSEP où sa carrière internationale a commencé.          

Parallèlement à cela, Barbara Harel avait mené des études qui la destinaient à devenir journaliste sportive. C'est ainsi qu'après son retrait de la compétition en 2010, elle a assuré un poste de secrétaire de rédaction au Comité Olympique d'où elle est partie il y a quelques mois pour devenir entraîneur de judo indépendante à Paris.

Le hasard d'un contact avec Guillaume Renoud, professeur au Judo club pontévallois, l'a conduite à Pont-de-Vaux en cette fin de semaine. « Je suis heureuse d'être ici, de partager mon savoir-faire et mon expérience avec les judokas de la région. Je ne connaissais pas la région, mais on m'a réservé un excellent accueil » confiait la judokate qui n'a pas économisé son temps en animant même au passage une séance d'initiation au judo avec une trentaine d'enfants du centre aéré et en rencontrant les pompiers au centre de secours lors d'une soirée qui restera gravée dans les mémoires.

 Ce sont au total plusieurs dizaines de judokas de tous âges et de tous niveaux, de ceinture bleue à ceinture noire, licenciés dans les clubs de Saint-Denis-les-Bourg, Polliat, Mâcon, Belleville-sur-Saône, et bien sûr de Pont-de-Vaux, qui ont participé à ces stages animés par Barbara Harel. Tous étaient ravis et prêts à signer des deux mains pour un autre stage avec la même judokate l'an prochain.

Missionné par le CRJB-Comité régional de jazz de Bourgogne- le "Kansas City 7.1", après être intervenu tout l'après-midi auprès des 50 jeunes stagiaires de "Jazz en Herbe", a donné samedi soir un merveilleux petit concert à la salle des fêtes de Pont de Vaux. Une centaine de mélomanes, les stagiaires et leurs parents ont apprécié cette petite heure de retour aux sources d'un jazz impétueux et ardent, créé en 1935 par le pianiste américain Count Basie et son septet, le "Kansas City 1". Les flûtes de Patrick Rudant, son créateur et chef d'orchestre, le saxo-ténor de Joseph Lapchine, la trompette de Bob Pleinet, accompagnés du piano de Jonathan Carette, de la guitare de Céline Guillemet, de la

contrebasse de Benoit Keller, bien soutenus par le batteur Olivier Montangerand, nous ont permis de revivre la période swing dans des reprises faisant une large place à des solistes de talent.

Après dix jours de fermeture du 1er au 11 mai, le temps de tout nettoyer et de tout remettre en ordre à cause de la grosse inondation du printemps qui avait fait des ravages, la saison bat son plein « Aux rives du soleil », qui s'étend en bord de Saône en rive gauche en aval du pont de Fleurville sur 7 hectares où sont installés 220 emplacements et mobil-homes, avec un ensemble complet d'équipements annexes (pateaugeoire, piscines, aires de jeux, bar, restaurant, épicerie...) situés dans un écrin de verdure que l'on ne voit nulle part ailleurs, tenu avec une rigueur typiquement Hollandaise.

Sujet de sa gracieuse majesté Willem-Alexander, le nouveau roi des Pays-Bas, Parcival van Schijndel assure la gestion de cet établissement pour la sixième année consécutive. Il est aidé d'une solide équipe Hollando-Française qui veille à la logistique et aux animations : « Le mois de juin a été bon malgré les intempéries et le beau temps du mois de juillet a fait que des vacanciers ont le plus souvent prolongé leur passage. Nous avons en ce moment un taux d'occupation de 75 à 80 % sur l'ensemble de la saison. Pour le mois d'août on semble se diriger vers le même résultat si le beau temps persiste ».

Depuis plusieurs décennies, plusieurs autres propriétaires ressortissants des Pays Bas se sont succédés, qui ont comme Parcival, assuré la gestion du fond de commerce, l'immobilier restant propriété de la Ville de Pont-de-Vaux. Du coup la clientèle du camping « Aux rives du soleil » est en très grande majorité composée de vacanciers Hollandais.

Mais une nouvelle orientation se fait jour depuis quelques quelques années : « Nous avons de plus en plus de pêcheurs qui occupent nos mobiles homes et pour eux avons aussi recours à des tentes supplémentaires ». En effet, les rivières proches comme la Saône et la Reyssouze sont particulièrement poissonneuses, on se souvient par exemple qu'à la mi-juin, l'un des pêcheurs Hollandais de ce camping avais pris un silure de 2 m 50 à l'embouchure de la Reyssouze, à quelques pas au sud du camping, (voir nos éditions locales du 16 juin). Et comme chaque année depuis des lustres, des équipages anglais sont attendus en prémices au Mondial du quad qui aura lieu du 30 août au 1er septembre. Ils constitueront le dernier mouvement important de la saison avant la fermeture du camping prévue à la mi-octobre.

Excepté l'incident qui a vu le départ inopiné de la directrice-adjointe et son remplacement par Isabelle Buiron qui assurait jusqu'alors la présidence de JADE, le 10e centre aéré s'est achevé sur un bilan relativement satisfaisant pour les organisateurs.  Isabelle Buiron a, de son côté été remplacée au pied levé par Sophie Gorszka qui était jusqu'alors vice-présidente.

193 enfants accueillis

Du 5 juillet au 9 août, cette structure destinée aux enfants de 4 à 14 ans, a accueilli 193 enfants et adolescents. De nombreuses animations et sorties quotidiennes leur ont été proposées pour des prix modiques (inchangés par rapport à 2012) qui allaient de 13,50 à 15,50 euros (repas de midi inclus) pour chaque participant et selon les animations des journées. Ce centre aéré était encadré par 15 personnes (personnel de direction, animateurs et agents d'entretien). Les participants, au nombre de 193, venaient de l'ensemble des

douze communes du canton : Pont-de-Vaux (36), Chevroux (25), Reyssouze (22), Saint-Bénigne (22), Gorrevod (14), Boz (14), Arbigny (11), Ozan (10), Chavannes-sur-Reyssouze (9), Saint-Etienne-sur-Reyssouze (8), Boissey (7), Sermoyer (6), et pour les communes situées hors canton : Manziat, Sancé, Tournus, Vescours (9). La moyenne journalière de 87 enfants et

adolescents représentait une baisse conséquente (-20 %) par rapport à l'an dernier (112 enfants en moyenne chaque jour en 2012). La baisse drastique de certains budgets familiaux frappés par la crise semblant expliquer cela.

Ce centre aéré s'est terminé vendredi soir dans la cour de l'école élémentaire du Grand cyprès qui avait servi de base au cours de ce mois de vacances, en présence de nombreux parents et de deux élus : Jean-Claude Thierry et Jean-Paul Félix, maire et maire-adjoint de Pont-de-Vaux. Ces derniers ont annoncé que les enfants du centre n'auraient plus à traverser la ville l'an prochain pour se rendre à la salle des fêtes où étaient servis les repas en deux services, car le restaurant scolaire attenant à l'école primaire sera en service. Ce qui devrait enlever un gros problème d'organisation à l'association JADE. Reste à savoir si un bureau repartira pour un 11e centre aéré...

Malgré le temps caniculaire de ce mois de juillet, le musée Antoine-Chintreuil connaît un taux de fréquentation satisfaisant avec une fréquentation dépassant 600 visiteurs au mois de juillet. Cela porte le nombre d’entrées à plus de 3 300 visiteurs depuis le 1er avril, date d’ouverture de la première exposition temporaire : « Secrets peupliers » de Jean-Yves Pennec. La seconde exposition : « Chemin de lumière », constitue la première rétrospective de l'œuvre de Bang Hai Ja, peintre et calligraphe Coréenne. Cette exposition qui a déjà accueilli de nombreux amateurs d'arts semble elle aussi sur la voie d’un grand succès.

Née en 1937 en Corée, Bang Haï Ja s'est installée en France en 1961, vit depuis 2009 à Ajoux en Ardèche. Elle a conservé un atelier parisien. Bang Hai Ja fait partie de la première génération de peintres abstraits coréens. Ses débuts à Paris ont tout de suite été remarqués par l’écrivain, historien d’art et critique Pierre Courthion qui n’a eu de cesse de l’encourager. Passerelle entre l’Occident et l’extrême Orient, l’œuvre de Bang Hai Ja se caractérise par la recherche de la Lumière, celle du cosmos, mais aussi celle de l’intériorité. En cela, elle porte une dimension spirituelle universelle. « Il faut méditer devant cet espace cosmique, ces mouvements de matière, de lumière, pour que ce même espace s’abolisse et que le tableau ne soit plus que l’expression véhémente d’un mouvement de l’âme » (Maurice Benamou).

La spiritualité et la dimension contemplative de son œuvre trouvent écho chez de nombreux écrivains et poètes. Elle a illustré plusieurs ouvrages avec des lavis pour les Editions Voix d’Encre: « Une joie secrète » de Charles Juliet (2001), « Aux chants des transparences » de Roselyne Sibille (2002), « Eclosion » de Kim Chi-ha (2006) et « Les mille monts de lune », poèmes des moines bouddhiques dans la collection « Les carnets du calligraphe » chez Albin Michel en 2003.

L’exposition « Chemin de lumière » est ouverte au musée Antoine-Chintreuil, 66, rue de Lattre, du 3 juillet au 24 novembre. Tous les jours (sauf le mardi) de 14 heures à 18 heures. Tél. 03.85.51.45.65. Site : www.musee-chintreuil.com

Installé quelques pas de la fête artisanale, le concours cantonal de labours qui se déroulait sur la commune de Reyssouze a réuni quelque 19 concurrents, soit un peu moins que les années précédentes. La cause, un retard dans les travaux des exploitations en raison du décalage des saisons. Cela n’a pas empêché les 19 concurrents de donner les meilleur d’eux-mêmes sur le plateau qui le long de la route de Feillens s’étend sur des dizaines d’hectares. Débuté le matin, où chaque concurrent a eu à tracer sa raie d’ouverture, avant de poursuivre l’après-midi, sous un grand soleil, le concours a attiré nombre de visiteurs.

Classés dans l’ordre, 1er Valentin Gautheret, 191 points, 1er, de Dommartin, 2me Geray Loïc, 183,50 pts, et 3me Claire Mickaël, 179,5 pts, de Chavannes-sur-Reyssouze, représenteront le

canton au concours départemental dans la perspective d’une qualification au championnat national qui aura lieu cette année dans le département de l’Ain.

Avant la remise des coupes, le président du syndicat des jeunes agriculteurs, organisateurs du concours a lancé un cri d’alarme quant aux difficultés que connaît l’activité agricole sur les deux rives de la Saône, depuis la fermeture du pont de Fleurville au-delà d’un certains tonnage. Les surcoûts engendrés par les détours, par Tournus ou Mâcon, impactant notablement les exploitations. Après les interventions de Mme Sallet, maire de Reyssouze et d'Henri Guillermn, Président de la communauté de communes, Bertrand Poncet devait procéder à la proclamation du palmarès.

D'un mercredi sur l'autre, le contraste était saisissant. En effet, au marché du 31 juillet qui s'était déroulé par un temps resplendissant, a succédé ce mercredi 7 août un marché plus que morose qui s'est déroulé sous la pluie. Les marchands étaient pourtant légion, mais le public était cette fois en rangs clairsemés à arpenter la rue sous les parapluies.

Du coup les chiffres d'affaires habituels auront connu une chute spectaculaire et contrairement aux autres marchés d'été où les rues et places sont encore occupées par les commerçants bien au-delà de 13 h 30, peu après-midi cette fois tout était plié, en premier lieu les terrasses des cafés désertées tout au long de la matinée.

  Tout n'est cependant pas perdu car il reste le marché du 14 août, le plus important de l'année, pour ce refaire. Plus qu'à souhaiter que le beau temps soit de la partie.

D'un mercredi sur l'autre, le contraste était saisissant. En effet, au marché du 31 juillet qui s'était déroulé par un temps resplendissant, a succédé ce mercredi 7 août un marché plus que morose qui s'est déroulé sous la pluie. Les marchands étaient pourtant légion, mais le public était cette fois en rangs clairsemés à arpenter la rue sous les parapluies.

Du coup les chiffres d'affaires habituels auront connu une chute spectaculaire et contrairement aux autres marchés d'été où les rues et places sont encore occupées par les commerçants bien au-delà de 13 h 30, peu après-midi cette fois tout était plié, en premier lieu les terrasses des cafés désertées tout au long de la matinée.

Tout n'est cependant pas perdu car il reste le marché du 14 août, le plus important de l'année, pour ce refaire.

 Plus qu'à souhaiter que le beau temps soit de la partie. MARCH--1-copie-2.JPG

Le nouveau ponton pour personnes à mobilité réduite du plan d'eau intercommunal a été utilisé par un groupe de cinq personnes à mobilité réduite lors d'une séance d'initiation à la pêche proposée par l'Ablette bressane. Ces personnes étaient membres d'un groupe de quinze handicapés encadrés par sept animateurs. Ils sont hébergés pendant trois semaines au gîte de groupe du camping Champ d'été. Il s'agit d'une opération mise en place par les « Eclaireuses et éclaireurs de France » (mouvement de scoutisme laïque) dont l'un des centres régionaux se trouve au château de Montlaville à Chardonnay (71).

A cette occasion une quinzaine de vacanciers, adultes et enfants, résidant au camping Champ d'été, étaient également présents sur le sit. Ils ont profité de cette séance d'initiation à la pêche.

Cette session était encadrée par quatre bénévoles de la société de pêche locale : Fernand Neumer, président de l'Ablette bressane, Christian Blanc, Michel Bourgeois et Joseph Ruiz.

Le temps de l'initiation, la société a remis aux intéressés tout le matériel nécessaire : gaules, lignes, appâts, et donné tous conseils utile pour prendre du poisson.

Le message a été bien reçu car en fin de matinée plusieurs dizaines de poissons chats, ablettes, brèmes et autres gardons, constituaient un beau tableau de pêche pour l'ensemble des participants, néophytes, pour la plupart d'entre eux. D'autres séances d'initiations sont prévues avec d'autres acteurs dans les jours qui viennent.

Le Centre Communal d'Action Social de Reyssouze (CCAS) invite le public autour du plan d'eau à l'esplanade des 4 vents à Reyssouze au soir du 14 aoüt.

Animations à partir de 21 h : clique cantonale et prestation du groupe folklorique pontévallois.

Spectacle pyrotechnique tiré au bord du plan d'eau par les artificiers de la société Pyragric, célèbre maison lyonnaise pour ses créations et sa fabrication de spectacles pyrotechniques depuis des dizaines d'années. La mise en place du spectace et la coordonitation sont conduits par Marc Sornin.

Une buvette attend les spectateurs avant et après le spectacle. Les bénéfices réalisés le sont au profit du Centre Communal d'Action Social de la Commune de Reyssouze.

Selon Nicole Sallet, maire de Reyssouze, « C'est une vraie chance pour les estivants et les habitants de la région d'avoir deux feux d'artifice pendant la période estivale (14 juillet et 14 août).  soirée pour qu'elle soit une réussite ». Ces deux  manifestations sont un bel exemple de partage sur le même territoire et cela perdurera dans les années à venir. Je veux adresser tous mes remerciements à toutes celles et tous ceux qui participent soit à l'organisation, soit à l'animation de cettesoirée pour qu'elle soit une réussite ».     

La deuxième quinzaine du mois d'août ne manquera pas d'animations avec le feu d'artifice de Reyssouze ce mercredi 14 août autour du plan d'eau, puis, des 24 et 25 août sur le même site, la fête médiévale de l'AJLC (association jeunesse loisir Chevroux). 27me Mondial du quad des 30, 31 août et 1er septembre sur le circuit de la prairie viendra clôturer la série des grands spectacles. A ces animations s'ajoute cette année un spectacle exceptionnel né en Bresse Louhannaise : « TV Campagne » prévu le mercredi 28 août à 21 heures sur la Promenade à Pont-de-Vaux. Cette soirée fermera la marche de la tournée de onze représentations programmées à travers des villes et villages des trois Bresse : de Saône-et-Loire, du Jura et de l'Ain, dont le coup d'envoi sera donné le 13 août prochain à Louhans.

Les porteurs de ce projet : Denis Lamard, président des de l'association « Brasseurs d'R », initiateur et pilier de cette opération, accompagné d'une partie de son équipe, ont tenu une réunion à Pont-de-Vaux, avec trois associations partenaires, qui assureront localement le relais de cette soirée : l'Office de tourisme, Sports, Loisirs, Culture, et Yaka'Rire. Si certaines modalités administratives restent encore à régler avec la mairie, tout est pratiquement en ordre de marche pour la logistique. Si bien qu'ici, comme partout ailleurs, on devrait se souvenir de ce spectacle parodique présentant « une émission-spectacle subversive et décalée dont la ville et ses habitants seront les héros ».

A cet effet, les organisateurs demandent aux spectateurs de se présenter à 20 h 30 vêtus de tenues colorées.

Ce spectacle est bâti sur une trame relatant les tribulations d'une équipe de télévision parisienne lors d'une émission en milieu rural. Parmi les acteurs se trouvera Séverine Douard qui a, pendant plusieurs années, supervisé les comédiens du théâtre de l'Ouvroir à SLC. Ces spectacles seront gratuits et les onze soirées seront transmises en direct sur le net : www.tvencampagne.fr.

En attendant le passage à Pont-de-Vaux le 28 août, et pour en savoir plus, rendez-vous à Louhans le 13 août, Romenay le 14 août, Dommartin-les-Cuiseaux le 16 août, Vincelles (39) le 19 août, Saint-Trivier-de-Courtes le 20 août, Bletterans (39) le 21 août, Montret le 22 août, Cuisery le 23 août, Commenailles (39) le 26 août, Saint-Germain-du-Plain le 27 août.